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Environnement - Éclairage

Acide et lithium : le côté sombre de l’énergie solaire

Une catastrophe écologique et sanitaire sera inévitable dans quelques années à peine si le recyclage des batteries n’est pas réglementé.

Acide et lithium : le côté sombre de l’énergie solaire

Les toits du Liban se couvrent progressivement de panneaux solaires. La conséquence en matière de déchets risque d'être lourde. Photo João Sousa

Tueurs en puissance, l’acide et le lithium se sont invités chez nous depuis l’installation massive d’équipements solaires, au comble de la crise énergétique en 2020-2021 au Liban, pour contrebalancer le manque d’électricité dans le pays. Chaque fin...
Tueurs en puissance, l’acide et le lithium se sont invités chez nous depuis l’installation massive d’équipements solaires, au comble de la crise énergétique en 2020-2021 au Liban, pour contrebalancer le manque d’électricité dans le pays. Chaque fin...

commentaires (6)

Commençons déjà par recycler nos gouvernants pour pouvoir prétendre appartenir à une civilisation qui se respecte. Nous sommes devenus la risée du monde à cause de notre laxisme et de notre indifférence à notre dignité et notre souveraineté spoliées qui sidèrent le monde.

Sissi zayyat

11 h 58, le 07 octobre 2023

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Commentaires (6)

  • Commençons déjà par recycler nos gouvernants pour pouvoir prétendre appartenir à une civilisation qui se respecte. Nous sommes devenus la risée du monde à cause de notre laxisme et de notre indifférence à notre dignité et notre souveraineté spoliées qui sidèrent le monde.

    Sissi zayyat

    11 h 58, le 07 octobre 2023

  • On est en train de brûler des étapes essentielles là. Avant de demander au peuple libanais le recyclage d’acide, de lithium, et de plomb, il faudrait peut-être commencer par lui inculquer le recyclage de ses déchets ménager, voire plus basique encore, à ne plus jeter ses bouteilles de plastique, canettes, papiers et autres détritus par les fenêtres des voitures et des bus… il faut un début à tout, une éducation de base, un savoir vivre, un minimum de respect de la nature, et le libanais moyen en est encore loin, tellement loin…

    Gros Gnon

    05 h 22, le 28 septembre 2023

  • Effectivement, l'absence de réseau local de distribution de l'électricité, capable d'absorber la production, de la redistribuer, contraint à recourir aux batteries,. J'ignore le contexte libanais du réseau électrique, mais une partie de la solution réside dans ce qu'on appelle l'autoconsommation collective. Evidemment, cela ne dispense pas de s'occuper du sort des batteries en fin de vie, pour lequel le rôle de la puissance public, de ses moyens, de son autorité reste essentiel.

    Deprost Michel

    04 h 23, le 28 septembre 2023

  • Triste d'autant que c'est une conséquence directe de l’absence d'EDL. En France on peut avoir des panneaux solaires qui envoient l'excès de production sur le réseau (le jour) et vice versa, et donc pas besoin de batteries

    Emmanuel Durand

    16 h 52, le 27 septembre 2023

  • Au secours !

    Marie Claude

    07 h 54, le 26 septembre 2023

  • Les libanais essayent de s adapter à cet environnement créé par des politiques qui pensent qu à leur poche. Dans cette cacophonie et ce désastre écologique que faire ? Vivement un état fort car on va tous y passer à cette allure

    Le juste milieu

    00 h 30, le 26 septembre 2023

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