
Depuis le début de la crise fin 2019, le Liban jongle entre au moins trois taux de change différents. Photo João Sousa
Le Liban fonctionne grâce à ses changeurs de devises informels. À quoi ressemble leur quotidien ? « L’Orient Today » a rencontré l’un d’entre eux.
OLJ / Par Sally Abou al-Joud, le 02 août 2023 à 10h22
Depuis le début de la crise fin 2019, le Liban jongle entre au moins trois taux de change différents. Photo João Sousa
Bel article clair et bien documenté. Bien vu! Le sujet est très important et va l'être d'autant plus que le départ de RS va sonner la fin très proche d'une monnaie subventionnée par l'argent des Libanais eux-mêmes : (
C'est vrai que cet article est très complaisant et manque d'un regard critique (journalistique ?!) sur un métier qui participe du système mafieux condamnant le Liban au sous-développement.
Les changeurs sont en partie responsables de la chute économique du Liban en fluctuant à leurs grès les échanges dollars en livres libanaises et vice versa.
Je n'ai rien contre ce Monsieur à priori mais j'ai le sentiment que cet article manque de recul critique. J'ai presque l'impression qu'on fait l'apologie du métier de changeur dans l'article (limite on pourrait conseiller aux jeunes de se lancer dans le business). Quelle image donne-t-on aux jeunes générations alors que les salariés "vertueux" (employés, profs, certains petits fonctionnaires qui n'ont pas été placés à leur poste par un zaim, etc.) et l'ancienne classe moyenne vivent maintenant dans la misère? Pauvre Liban, "pays poubelle" livré au pillage avec l'assentiment de son peuple...
Waw dans les quartiers chrétiens, plus fiable
commentaires (5)
Bel article clair et bien documenté. Bien vu! Le sujet est très important et va l'être d'autant plus que le départ de RS va sonner la fin très proche d'une monnaie subventionnée par l'argent des Libanais eux-mêmes : (
Emmanuel Durand
21 h 42, le 05 août 2023