Entre MBS et MBZ, la rivalité s’affiche désormais au grand jour
L’absence du président émirati au sommet de la Ligue arabe à Djeddah le 19 mai rappelle les divergences qui s’accumulent sur les dossiers régionaux entre les dirigeants saoudien et émirati.
Le prince héritier d’Abou Dhabi Mohammad ben Zayed rencontrant le prince héritier d’Arabie saoudite Mohammad ben Salmane en 2018 à Djeddah. Bandar al-Jaloud/Palais royal d’Arabie saoudite/AFP
Son absence au sommet de la Ligue arabe a été éclipsée par le retour de Bachar el-Assad et l’invitation surprise de Volodymyr Zelensky, mais elle n’en est pas moins significative. Le 19 mai, le président émirati Mohammad ben Zayed (MBZ) ne s’est pas...
Son absence au sommet de la Ligue arabe a été éclipsée par le retour de Bachar el-Assad et l’invitation surprise de Volodymyr Zelensky, mais elle n’en est pas moins significative. Le 19 mai, le président émirati Mohammad ben Zayed (MBZ) ne s’est pas...
Abonnez-vous pour 99$/an au lieu de 169$.
Retrouvez tous nos analyses, décryptages, reportages et bien plus encore !
Chers lecteurs, afin que vos réactions soient validées sans problème par les modérateurs de L'Orient-Le Jour, nous vous prions de jeter un coup d'oeil à notre charte de modération.
quand je vois que d un désert ils ont en fait un paradis et nous d un paradis nos dirigeants incapable en ont fait un enfer.
Le juste milieu
23 h 45, le 24 mai 2023
Ils ont trop d'interêts communs et malgré une certaine rivalité personnelle, les deux ëmirs finiront bientôt , et très bientôt par s'entendre .... Un genre de BENELUX est en train d'être préparé à petit feu au sein du Conseil de Coopération des pays du Golfe .
Chucri Abboud
14 h 09, le 24 mai 2023
Depuis le début, personne n’a cru à leur rassemblement factice. Je l’avais déjà écrit. Dans cette région du monde comme dans d’autres où un coq règne et il ne peut y avoir un autre avec lequel partager. Comme quoi tous ceux qui croient aux interventions externes pour diviser se trompent puisque de tout temps ils se sont toujours arrangés pour se liquider l’un l’autre et pousser leurs cocoricos sur le toit de leur poulailler. Ne reste aux pays étrangers que les regarder s’étriper pour venir proposer le rôle d’arbitres et ainsi avoir une présence légitime dans leurs pays respectifs. C’est claire que les égos démesurés de tous les dirigeants de ces pays ont toujours causé leur perte. N’empêche, ils persistent et signent tout en se proclamant modernes, ouverts aux autres et rassembleurs tant qu’on ne touche pas à l’autorité fragile et empruntée du coq auto-proclamé. C’est surtout la confiance qui manque et ça, personne ne peut y remédier vu les antécédents des uns et des autres. En Europe ce genre de scénario de mésentente peut avoir lieu mais pour d’autres considérations, il est surtout basé sur les intérêts du pays de chacun des belligérants et en aucun cas d’ego ou d’intérêt personnel. Il y a encore du chemin à mener pour y arriver.
Sissi zayyat
12 h 04, le 24 mai 2023
"… Entre MBS et MBZ …" - eh oh il ne faut pas oublier notre MBécile national…
commentaires (4)
quand je vois que d un désert ils ont en fait un paradis et nous d un paradis nos dirigeants incapable en ont fait un enfer.
Le juste milieu
23 h 45, le 24 mai 2023