
Le prince héritier d’Abou Dhabi Mohammad ben Zayed rencontrant le prince héritier d’Arabie saoudite Mohammad ben Salmane en 2018 à Djeddah. Bandar al-Jaloud/Palais royal d’Arabie saoudite/AFP
L’absence du président émirati au sommet de la Ligue arabe à Djeddah le 19 mai rappelle les divergences qui s’accumulent sur les dossiers régionaux entre les dirigeants saoudien et émirati.
OLJ / Par Amélie ZACCOUR, le 23 mai 2023 à 19h39
Le prince héritier d’Abou Dhabi Mohammad ben Zayed rencontrant le prince héritier d’Arabie saoudite Mohammad ben Salmane en 2018 à Djeddah. Bandar al-Jaloud/Palais royal d’Arabie saoudite/AFP
quand je vois que d un désert ils ont en fait un paradis et nous d un paradis nos dirigeants incapable en ont fait un enfer.
Ils ont trop d'interêts communs et malgré une certaine rivalité personnelle, les deux ëmirs finiront bientôt , et très bientôt par s'entendre .... Un genre de BENELUX est en train d'être préparé à petit feu au sein du Conseil de Coopération des pays du Golfe .
Depuis le début, personne n’a cru à leur rassemblement factice. Je l’avais déjà écrit. Dans cette région du monde comme dans d’autres où un coq règne et il ne peut y avoir un autre avec lequel partager. Comme quoi tous ceux qui croient aux interventions externes pour diviser se trompent puisque de tout temps ils se sont toujours arrangés pour se liquider l’un l’autre et pousser leurs cocoricos sur le toit de leur poulailler. Ne reste aux pays étrangers que les regarder s’étriper pour venir proposer le rôle d’arbitres et ainsi avoir une présence légitime dans leurs pays respectifs. C’est claire que les égos démesurés de tous les dirigeants de ces pays ont toujours causé leur perte. N’empêche, ils persistent et signent tout en se proclamant modernes, ouverts aux autres et rassembleurs tant qu’on ne touche pas à l’autorité fragile et empruntée du coq auto-proclamé. C’est surtout la confiance qui manque et ça, personne ne peut y remédier vu les antécédents des uns et des autres. En Europe ce genre de scénario de mésentente peut avoir lieu mais pour d’autres considérations, il est surtout basé sur les intérêts du pays de chacun des belligérants et en aucun cas d’ego ou d’intérêt personnel. Il y a encore du chemin à mener pour y arriver.
"… Entre MBS et MBZ …" - eh oh il ne faut pas oublier notre MBécile national…
quand je vois que d un désert ils ont en fait un paradis et nous d un paradis nos dirigeants incapable en ont fait un enfer.
23 h 45, le 24 mai 2023