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Environnement - Le Liban et la région face à l’urgence climatique

Beyrouth, 2050 : l’enfer ou presque...

Neige en plein désert, tempêtes de sable, chaleurs extrêmes, sécheresse à rallonge, précipitations incontrôlées... Autant de phénomènes climatiques qui affectent de plus en plus régulièrement le Moyen-Orient. À l’occasion de la COP27 qui se tient actuellement à Charm el-Cheikh, « L’Orient-Le Jour » fait un focus sur certaines problématiques spécifiques à la région. Comprendre le ressenti face au changement climatique, imaginer Beyrouth en 2050 ou encore découvrir une initiative écologique qui pourrait révolutionner notre façon de bâtir. Le troisième épisode de la série est un récit fictif de ce qui attend Beyrouth, suivant les projections scientifiques, en 2050.

Beyrouth, 2050 : l’enfer ou presque...

Beyrouth en 2050 ressemblera-t-elle à celle d’aujourd’hui ? Photo João Sousa

[L’article qui suit est un reportage totalement fictif qui emmène le lecteur dans le Beyrouth de 2050 tel qu’on pourrait l’imaginer dans le cas où la trajectoire actuelle du changement climatique ne serait pas modifiée. Le récit est basé sur des projections scientifiques concernant la capitale libanaise, comme d’autres villes côtières méditerranéennes. Pour écrire cet article, deux collaborations ont été précieuses: Wajdi Najm, professeur émérite à l’USJ, qui a à son actif 40 ans d’études du climat au Liban, et Léa Kaï, experte en changement climatique au PNUD, qui cite comme référence le 6e rapport du GIEC (Groupe intergouvernemental d’experts sur le climat), intitulé « Impacts, Adaptation et Vulnérabilité », et le 4e Rapport national présenté par le Liban à l’Agence de l’ONU pour le changement climatique.]Malgré l’heure...
[L’article qui suit est un reportage totalement fictif qui emmène le lecteur dans le Beyrouth de 2050 tel qu’on pourrait l’imaginer dans le cas où la trajectoire actuelle du changement climatique ne serait pas modifiée. Le récit est basé sur des projections scientifiques concernant la capitale libanaise, comme d’autres villes côtières méditerranéennes. Pour écrire cet article, deux collaborations ont été précieuses: Wajdi Najm, professeur émérite à l’USJ, qui a à son actif 40 ans d’études du climat au Liban, et Léa Kaï, experte en changement climatique au PNUD, qui cite comme référence le 6e rapport du GIEC (Groupe intergouvernemental d’experts sur le climat), intitulé « Impacts, Adaptation et Vulnérabilité », et le 4e Rapport national présenté par le Liban à l’Agence de l’ONU...
commentaires (6)

on ne nous dit pas que va devenir le gendre adoré dans ces années 2050 ? va-t-il opter pour un autre style de lunettes ?, va t'il déménager dans un autre pays plus froid ?. serait il assis sur le trône depuis 2023 jusqu'en 2050 ? là alors, ca sera encore pire que les 47 C a l'ombre.

Aboumatta

07 h 23, le 14 novembre 2022

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Commentaires (6)

  • on ne nous dit pas que va devenir le gendre adoré dans ces années 2050 ? va-t-il opter pour un autre style de lunettes ?, va t'il déménager dans un autre pays plus froid ?. serait il assis sur le trône depuis 2023 jusqu'en 2050 ? là alors, ca sera encore pire que les 47 C a l'ombre.

    Aboumatta

    07 h 23, le 14 novembre 2022

  • Ce n’est pas très différent de maintenant. Il faudrait rajouter 2-3 tremblements de terre majeurs pour être plus intéressant…

    Mago1

    14 h 36, le 11 novembre 2022

  • Et si "Nos Freres inattendus" d'Amine Maalouf, nous rendaient visite pour Conseil !!!!! "Seuls nous ne pourrions que nous isoler du monde ; réunis nous allions pouvoir le transformer" Eric Emanuel Schmitt.

    saliba rima

    14 h 03, le 11 novembre 2022

  • L’avantage du Liran sur les autres pays du monde est que nous avons des dirigeants visionnaires qui ont su préparer et habituer leur peuple à la crise, la pénurie et la misère. Le choc nous sera ainsi beaucoup plus doux à supporter. Quel beau cadeau que nous a fait le “Règne Fort”!

    Gros Gnon

    13 h 31, le 11 novembre 2022

  • Heureux les Baby Boomers nés au meilleur moment de l'histoire de la planète ...

    Remy Martin

    09 h 42, le 11 novembre 2022

  • "D’autant plus que les coupures d’électricité continuent de jalonner le quotidien des Libanais, comme dans les années 90 du siècle passé." Ah bon! Et les années 10 et 20 du siècle en cours, men chou byechko???

    Georges MELKI

    07 h 54, le 11 novembre 2022

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