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Politique

Ils ont dit... à l’occasion de la fête de l’Indépendance

Le président de la République Michel Aoun, dans un discours à la nation : « La sortie de cette crise gouvernementale n’est pas insurmontable et la clé se trouve dans le point E du préambule de la Constitution, qui stipule que le régime libanais est fondé sur le principe de la séparation des pouvoirs (…). (J’espère) que l’équipe gouvernementale pourra revenir rapidement au travail et accomplir ses missions dans les circonstances pressantes (…). Cette situation ne peut plus durer (…). (La crise avec le Golfe) a eu des répercussions négatives sur de nombreux plans, notamment sur la situation gouvernementale, (en espérant) une solution prochaine. »

Nabih Berry, président du Parlement, dans une déclaration : « Le Liban traverse le moment le plus dangereux pour son existence (…). L’indépendance de la justice (doit être garantie), en tant que pouvoir qui respecte la Constitution et les lois, loin de toute politisation, du clientélisme, du communautarisme et de la confessionnalisation. »

Mgr Bechara Raï, patriarche maronite, lors de son homélie du dimanche : « L’indépendance souffre aujourd’hui de la présence dans le pays de Libanais, de responsables et de partis qui ne sont pas indépendants (…), certaines parties du peuple sont fidèles à une autre nation et (le Liban ne peut être indépendant) tant que certains dirigeants n’assurent pas au peuple une vie digne, la justice et des garanties sanitaires et sociales (…). L’indépendance ne peut pas exister dans une nation qui se transforme en terrain de guerre pour tous les problèmes du Moyen-Orient et du monde. »

Saad Hariri, ancien Premier ministre, dans une série de tweets : « Le Liban aurait pu devenir le paradis de l’Orient si toutes les promesses faites au cours des 70 dernières années s’étaient concrétisées, mais les guerres des autres sur son sol, les conflits confessionnels, les échanges haineux et les allégeances à l’étranger en ont fait un enfer (…). (L’indépendance du Liban a été mise aux mains) d’esprits sauvages spécialisés dans la fabrication d’États faillis (…). (Les dirigeants) sont même incapables de réunir un Conseil des ministres. »

Michel Pharaon, ancien ministre, dans un tweet : « Il n’y a pas de fête d’indépendance cette année. Il nous reste la mission de préserver l’héritage que nous ont légué nos aïeux par un refus de la majorité de céder à la tutelle et au règne de la force. Les batailles de l’indépendance se poursuivent, tout comme la tentative, par un certain camp, d’hypothéquer la souveraineté, l’histoire et l’identité du Liban. »

– Le président de la République Michel Aoun, dans un discours à la nation : « La sortie de cette crise gouvernementale n’est pas insurmontable et la clé se trouve dans le point E du préambule de la Constitution, qui stipule que le régime libanais est fondé sur le principe de la séparation des pouvoirs (…). (J’espère) que l’équipe gouvernementale pourra revenir...

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