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Politique - Discours de Raï

Protestations dans la banlieue sud et d’autres quartiers de Beyrouth

Un nombre restreint de manifestants s’est rassemblé hier après-midi sous le pont de Moucharrafiyé, à l’entrée de la banlieue sud, place-forte du Hezbollah, pour protester contre les propos du patriarche Béchara Raï réclamant la neutralité, selon le groupe Sawratcom. D’autres manifestants ont brièvement coupé la route de l’aéroport à l’aide de pneus enflammés, selon la même source. Il n’a pas été possible de savoir si les deux manifestations sont liées, surtout que dans le même temps, d’autres manifestants ont interrompu la circulation sur la corniche Mazraa ainsi que sur le pont Salim Salam, pour protester contre les coupures de courant qui se sont aggravées durant le week-end à Beyrouth. Les deux artères ont été rouvertes à la circulation en fin d’après-midi, selon les médias locaux. À l’échéance des contrats avec les fournisseurs de fuel, dont l’algérien Sonatrach, et suite à la reprise de l’activité économique impliquant une plus grande consommation de courant électrique, le rationnement est devenu draconien au cours des derniers jours à Beyrouth.

Un nombre restreint de manifestants s’est rassemblé hier après-midi sous le pont de Moucharrafiyé, à l’entrée de la banlieue sud, place-forte du Hezbollah, pour protester contre les propos du patriarche Béchara Raï réclamant la neutralité, selon le groupe Sawratcom. D’autres manifestants ont brièvement coupé la route de l’aéroport à l’aide de pneus enflammés, selon la...

commentaires (2)

Ce sont les mêmes, deux pelés et trois barbus qui sont descendus saccager les tentes et brûler le symboles de la liberté des révolutionnaires. Les torses nus ou tee shirts et bandeaux noirs qui révèlent leur obscurantisme avec des bâtons, ils sont payés à hauteur de 20 dollars pour semer le désordre et inonder les réseaux sociaux pour faire croire à leur nombre croissant alors qu’ils se comptent par dizaines, les autres étant envoyés comme chair à canon pour servir leur barbu un peu mieux payés certes en échange de leur vie et leur sang.

Sissi zayyat

12 h 34, le 01 mars 2021

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Commentaires (2)

  • Ce sont les mêmes, deux pelés et trois barbus qui sont descendus saccager les tentes et brûler le symboles de la liberté des révolutionnaires. Les torses nus ou tee shirts et bandeaux noirs qui révèlent leur obscurantisme avec des bâtons, ils sont payés à hauteur de 20 dollars pour semer le désordre et inonder les réseaux sociaux pour faire croire à leur nombre croissant alors qu’ils se comptent par dizaines, les autres étant envoyés comme chair à canon pour servir leur barbu un peu mieux payés certes en échange de leur vie et leur sang.

    Sissi zayyat

    12 h 34, le 01 mars 2021

  • BIEN SUR !

    Gaby SIOUFI

    11 h 17, le 01 mars 2021

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