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Politique

Ils ont dit...

– Le chef du Parti socialiste progressiste Walid Joumblatt, sur son compte Twitter : « Le chaos règne au sein (des ministères) de la Justice, des Affaires étrangères et des Finances, ainsi que de l’Administration. Après les obstacles qui ont entravé les permutations judiciaires (…), la justice semble s’orienter vers un régime totalitaire. Aux Affaires étrangères, le ministre nous fait nous souvenir de Walid Moallem (le ministre syrien des AE). Aux Finances, un directeur général influent manipule les chiffres pour faire échouer le dialogue avec les instances internationales. Dans l’Administration, se trouve une bande de conseillers haineux. »

– Le Parti socialiste progressiste, dans un communiqué : « Certaines cellules obscures continuent de faire preuve de créativité en interférant dans certaines magistratures et institutions officielles et en essayant de changer le visage pluraliste du Liban et de réprimer les libertés (…). La dernière décision qui rappelle celles des tribunaux d’inquisition (…) s’applique-t-elle aux déclarations d’autres ambassadeurs et responsables ? (…) »

– Eddy Abillama, député FL sur son compte Twitter : « La justice ne peut pas adopter le principe des deux poids, deux mesures. La justice doit agir pour mettre un terme aux déclarations qui portent atteinte aux affaires intérieures et aux attaques contre les pays amis, sinon la décision du magistrat de Tyr n’a aucun sens. »

– Roula Tabch, députée du courant du Futur, dans une interview à la Voix du Liban : « La décision du juge Mohammad Mazeh est surprenante et contredit toutes les déclarations qui appellent à préserver la liberté de pensée et d’expression. Elle renferme de nombreux vices sur les plans législatif et diplomatique. (…) »

– Le conseiller diplomatique de Saad Hariri, Bassem el-Chab, dans une déclaration : « La décision du juge des référés à Tyr Mohammad Mazeh est étonnante et suspecte (…). Elle est anticonstitutionnelle et constitue un précédent dangereux pour le Liban et ses relations internationales (…). »

– Nouhad Machnouk, député du courant du Futur, sur son compte Twitter : « Le recours à la justice dans une guerre politique contre les États-Unis (…) est une preuve de faillite (…). C’est aussi un suicide communautaire vers lequel nous dirige le parti au pouvoir. Au lieu de nous diriger vers l’est conformément aux instructions émises dans ce sens, nous nous dirigeons vers un Venezuela ou un Cuba, comme vers des choix qui contribueront à hausser le cours de change du dollar qui atteindra les 20, 50 et 100 000 livres (…). »

– Le chef du mouvement de l’Indépendance et député Michel Moawad, sur sa page Facebook : « La décision du juge Mohammad Mazeh a provoqué un scandale auprès de l’État libanais, son gouvernement et sa justice, ainsi que du tort aux intérêts des Libanais (…). La solution serait dans l’adoption de la loi sur l’indépendance de la justice (…) et dans le respect de la Constitution qui protège les libertés des médias et stipule le respect des conventions internationales, à commencer par la convention de Vienne. »

– Le parti Kataëb, dans un communiqué : « La décision du juge Mohammad Mazeh (…) est une décision politique par excellence qui porte atteinte aux libertés, plus précisément à la liberté d’informer (…) et contredit les conventions et chartes internationales (…), notamment la convention de Vienne (…). Le Conseil supérieur de la magistrature doit rectifier cette faute et s’opposer à toutes les tentatives qui visent la politisation du pouvoir judiciaire. »

– Hassan Fadlallah, député du Hezbollah, dans une déclaration : « Les dernières déclarations de l’ambassadrice des États-Unis Dorothy Shea portent atteinte à la souveraineté de notre pays et à sa dignité nationale (…). Les autorités libanaises, principalement le ministère des Affaires étrangères, sont appelées à agir immédiatement pour obliger l’ambassadrice à respecter les lois internationales (…). Certaines parties au Liban n’ont pas appris de leurs échecs et de leurs paris perdants sur l’administration américaine (…). »


– Le chef du Parti socialiste progressiste Walid Joumblatt, sur son compte Twitter : « Le chaos règne au sein (des ministères) de la Justice, des Affaires étrangères et des Finances, ainsi que de l’Administration. Après les obstacles qui ont entravé les permutations judiciaires (…), la justice semble s’orienter vers un régime totalitaire. Aux Affaires étrangères, le...

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