Le président libanais Michel Aoun a demandé mardi au gouvernement de reconsidérer sa décision d'exclure le projet de centrale électrique de Selaata de son plan de réforme. Cette décision avait été prise le 14 mai par le cabinet dans sa majorité.
Le choix d'installer un nouveau site accueillant une centrale électrique à Selaata, a été défendu par l'ancienne ministre de l’Énergie Nada Boustani, ainsi que son prédécesseur César Abou Khalil, tous deux membres du Courant patriotique libre, fondé par le président Aoun.
Les plus commentés
Derrière l’escalade du Hezbollah, un message à Israël : cette fois-ci, l’Iran ne sera pas seul
La tension monte : lourd bilan pour le Hezbollah
Rumy al-Qahtani, première candidate d’Arabie saoudite au concours de Miss Univers