Photo souvenir des participants à la sixième édition du Pont de culture Aix-Baalbeck. Photo DR
Placée sous le signe des « littératures, arts et passions », cette manifestation annuelle dans le cadre du jumelage entre Aix et Baalbeck a conjugué les talents d’écriture de Noha Baz, qui a parlé de son ouvrage Il n’y a pas de honte à préférer le bonheur, et de Sawsan Mortada, auteure et poète en libanais dialectal. Fayçal Saab a présenté pour sa part Hoch el-Ghanam, domaine d’agro-culture dans la Békaa (eau de rose, huile d’olive, thym), et l’architecte Hala Wardé a présenté son projet « A roof for silence » avec lequel elle représentera le Liban à la Biennale internationale d’architecture de Venise 2020. Quant à l’artiste et graphiste Mira Mortada, elle a présenté une exposition de ses œuvres sous l’intitulé « Fer-portrait ».
De belles histoires fédératrices d’un pays riche de multiples talents qui jettent un joli pont culturel entre les deux côtés de la Méditerranée. Abir el-Khoury Jbeily qui représentait la mairie de Baalbeck, a prononcé, pour l'occasion, un discours pour présenter les liens étroits et les échanges avec la ville de Baalbeck, jumelée à Aix-en-Provence.
Les plus commentés
Reportage
« Si Dieu vous aime, il vous envoie à Monaco ! » : Qui sont les Libanais de la principauté ?
IMPRESSION
Le thym, le pain, le matin
Diplomatie
Derrière la visite de Bernard Émié, chef du renseignement français, à Beyrouth