Placée sous le signe des « littératures, arts et passions », cette manifestation annuelle dans le cadre du jumelage entre Aix et Baalbeck a conjugué les talents d’écriture de Noha Baz, qui a parlé de son ouvrage Il n’y a pas de honte à préférer le bonheur, et de Sawsan Mortada, auteure et poète en libanais dialectal. Fayçal Saab a présenté pour sa part Hoch el-Ghanam, domaine d’agro-culture dans la Békaa (eau de rose, huile d’olive, thym), et l’architecte Hala Wardé a présenté son projet « A roof for silence » avec lequel elle représentera le Liban à la Biennale internationale d’architecture de Venise 2020. Quant à l’artiste et graphiste Mira Mortada, elle a présenté une exposition de ses œuvres sous l’intitulé « Fer-portrait ».
De belles histoires fédératrices d’un pays riche de multiples talents qui jettent un joli pont culturel entre les deux côtés de la Méditerranée. Abir el-Khoury Jbeily qui représentait la mairie de Baalbeck, a prononcé, pour l'occasion, un discours pour présenter les liens étroits et les échanges avec la ville de Baalbeck, jumelée à Aix-en-Provence.
Les plus commentés
Joumblatt à « L’OLJ » : Il est inévitable de discuter avec le régime syrien au sujet des migrants
Quand la Jamaa islamiya fait les frais de sa démonstration de force au Akkar
Crimes israéliens commis au Liban dès le 7 octobre : quelle suite au recours du gouvernement libanais devant la CPI ?