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Culture

Ils ont dit...

● Bruno Foucher, ambassadeur de France au Liban : « Le Salon du livre francophone au Liban ajoute chaque année une pierre précieuse dans l’édifice de la francophonie. Il est un moment d’échanges et de rencontres et une occasion de penser un monde au pluriel. Je veux rester optimiste quant à la pérennité du livre car l’avenir de la lecture est le plaisir de la lecture. »

● Maroun Nehmé, président du syndicat des importateurs de livres au Liban : « Notre rôle de professionnels est d’élargir la vision, d’offrir et de promouvoir des lectures ciblées, de permettre au plus grand nombre d’intégrer des cultures numériques avec l’aide de l’Institut français dont nous sommes partenaires à part entière. En tout cas pour ce qui nous concerne, car il ne faut pas oublier que de ce partenariat, et de lui particulièrement, dépend la pérennité de ce Salon. »

● Aïda Greoli, vice-présidente et ministre de la Culture et de l’Enfance de la Fédération Wallonie-Bruxelles : « Chaque bébé né en Belgique, quelle que soit sa nationalité, reçoit à sa naissance un livre afin qu’il puisse un jour le toucher et former son imaginaire grâce à ses parents qui, on l’espère, lui raconteront une histoire. »

● Salim Jreissati, représentant du président de la République : « Je suis fier de représenter le président à cet événement charnière dans l’histoire culturelle du Liban, car le livre francophone est, pour moi, l’expression vivante de la création de l’esprit. »

● Bruno Foucher, ambassadeur de France au Liban : « Le Salon du livre francophone au Liban ajoute chaque année une pierre précieuse dans l’édifice de la francophonie. Il est un moment d’échanges et de rencontres et une occasion de penser un monde au pluriel. Je veux rester optimiste quant à la pérennité du livre car l’avenir de la lecture est le plaisir de la lecture. »...

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