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Culture

Ils ont dit

Bruno Foucher : « Je saisis cette occasion pour rendre hommage à Antoine Sfeir. Ce passeur entre l’Orient et l’Occident, fondateur des fameux Cahiers de l’Orient qui ont tant contribué à une meilleure compréhension du monde arabe. À travers ce Salon – qui n’a pas de couleur politique – nous poursuivons le même objectif que lui : promouvoir le livre comme une arme de destruction massive de tous les fanatismes et du repli communautaire. Et comme une arme de construction massive des valeurs de réflexion, de liberté, d’ouverture à l’autre, de plaisir aussi. »

Lynn Téhini : « Le ministère de la Culture reste plus que jamais le plus ardent défenseur de la francophonie. En témoigne notre engagement, il y a quelques jours encore, au sommet de la francophonie à Erevan où nous avons obtenu le feu vert pour créer à Beyrouth un bureau régional de l’Organisation centrale de la francophonie. Une bataille de longue haleine soutenue par les différentes institutions officielles, notamment la présidence de la République et le ministère de l’Éducation… »

Véronique Aulagnon, directrice de l’Institut français du Liban : « Cette année, il n’y aura pas d’invités “grands témoins” mais beaucoup de culture numérique (...) Parce que la francophonie ne veut pas dire repli sur une seule langue, le stand des éditeurs arabophones comportera un espace commun de dialogue (...). »

Monika Schutz-Kirgoz, ambassadrice de Suisse : « La Suisse – dont 25 pour cent de la population est francophone et 75 pour cent prétend l’être – est fière de participer à ce rendez-vous annuel de la littérature française. Nous y présentons cette année deux auteurs : Marc Attalah, un Libano-Suisse qui participera à un débat sur le numérique, et Sarah Chardonnens, qui travaille pour l’ONU et qui signera une compilation de chroniques libanaises intitulée On n’arrête pas un pays qui danse. »

Hubert Cooreman, ambassadeur de Belgique : « La Belgique ne manquera pas d’être présente cette année, comme toujours, dans ce Salon francophone de grand renom, à travers quelques 15 maisons d’édition dont des éditrices et illustratrices de livres de jeunesse (…) Par ailleurs, la vice-présidente et ministre de la Culture de la communauté française de Belgique, Alda Greoli, sera présente à l’inauguration. Durant sa visite, elle signera un accord de coproduction cinématographique avec le gouvernement libanais… »

Hanaa Jabbour, directrice marketing de « L’OLJ » : « La francophonie est une terre d’inventions et de conquêtes… C’est la langue de tous les combats et de toutes les dignités… Comme l’a si bien noté M. Michel Eddé, dans un éditorial publié le lundi 15 octobre, « notre mission, c’est de porter des valeurs humanistes et défendre les libertés ; promouvoir la francophonie et le dialogue des cultures ; lier les Libanais, où qu’ils soient dans le monde, à leur pays. Depuis quatre-vingt-quinze ans, depuis Georges Naccache et Michel Chiha, L’Orient-Le Jour s’engage à promouvoir une certaine idée du Liban. »

« L’OLJ s’engage aussi pour la promotion de la francophonie, notamment à travers son partenariat avec l’Institut français qui porte sur plusieurs projets, mais surtout sur le Salon du livre de Beyrouth... Le groupe met en place tout un dispositif pour l’accompagnement de cet événement culturel : du nombre important des conférences-débats et signatures organisées; à la grande couverture médiatique accordée, ainsi que les espaces de promotions de tous les supports du groupe.

Grâce au soutien de l’IFL à travers le projet FSP, le groupe a pu mener de grands projets qui lui ont permis d’élargir son offre numérique. »

Malaké Lahoud, libraire : « Cette 25 édition du Salon du livre francophone de Beyrouth est la réponse à l’agaçante question que l’on me pose trop souvent :“ Y a-t-il encore des gens qui achètent des livres ?” »

Raoul Nehmé, directeur exécutif de Bankmed : « Le thème de ce 25e Salon est simple et complexe à la fois. Parce que la culture ne passe plus uniquement par les livres mais à travers le numérique qui constitue une avancée certaine mais aussi une nouvelle source de défis, de richesse et d’innovation. Bankmed sera fière d’y participer en maintenant le soutien qu’elle apporte depuis 18 ans à ce Salon. »

Bruno Foucher : « Je saisis cette occasion pour rendre hommage à Antoine Sfeir. Ce passeur entre l’Orient et l’Occident, fondateur des fameux Cahiers de l’Orient qui ont tant contribué à une meilleure compréhension du monde arabe. À travers ce Salon – qui n’a pas de couleur politique – nous poursuivons le même objectif que lui : promouvoir le livre comme une arme...

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