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Lifestyle - Quelqu’un m’a dit

C’est beau, c’est bon et ça crépite à Beyrouth...

De ce (faux) gâteau a surgi la bellydancer.

Tout / tous pour François
C'est quoi votre souvenir de soirée le plus mémorable ? François Barras n'hésite pas quand on lui pose la question. Et répond : Picciotto. Parce que qui dit soirée Picciotto, dit ambiance caliente. Cette fois encore Danièle a mis le paquet pour célébrer l'anniversaire de l'ambassadeur de Suisse. Une vraie fiesta qui a réuni 220 invités autour de la piscine du Mandaloun Beach-Dbayé, et qui a décollé à l'apéro avec le duo Isabelle et Christine, avant que Aziza (au chant), Randa Makhoul (à la danse) et Câline Chidiac (aux platines), toutes trois connues pour leur style explosif, ne fassent souffler un vent de folie.
La reine du TaraPop (mélange de tarab, disco, pop et reggae) Aziza a littéralement soulevé le public. On a vu danser Mona Hraoui, Zalfa Boueiz, Oumayma Laouzi, Nabil et Isabella Sawabini, Nevine Emad, Michel et Zeina Trad, Nadine Chucri, Charif et Jemmy Doumit, la ravissante Jasmine Busson et ses potes. Même Ali et Anbra Dabbous n'ont pas boudé ce plaisir. Quant à Danièle et François Barras, ils ne décollaient pas du dancefloor.
C'est tout une autre musique qui a agité les invités, à l'heure de souffler les bougies. D'un énorme faux gâteau porté par cinq garçons, surgit la fameuse bellydancer de Hichik Bichik, Randa Makhoul, qui a entraîné dans la danse un François Barras tout surpris et fasciné, mais aussi Mounir Doueidi, Rafic Meouchy, Georges Ibrahimcha et Jean Bustros (applaudi par son épouse Amal, qui a joué la gloss it girl avec son nouveau rouge à lèvres glamourissime). Même l'imperturbable Charles Ghostine n'a pas résisté au chant de la sirène : sa femme Marilène n'en croyait pas ses yeux ! Entre-temps, il fallait admirer le reste de l'assistance masculine, dont les cœurs s'emballaient pendant que leurs yeux crachaient des arc-en-ciel. Une osmose toutefois brouillée par les nombreux smartphones brandis par les dames pour capturer l'instant et peut-être exercer quelque délicieux chantage...
Les invités venus du Luxembourg, de Belgique et de Suisse étaient époustouflés par la folle et joyeuse ambiance. Parmi eux, la princesse Léa de Belgique, épouse du défunt prince Alexandre, demi-frère des rois Baudouin et Albert II ; Viviane Reding, députée membre du Parlement européen ; Françoise Borgeat (Musées d'art et d'histoire de Genève), l'avocat Alain Zenner, Tony Khairalla et Pierrot Cilly.
Point de temps mort, dès que Randa s'est évaporée, les platines de Câline ont tonné, emportant à nouveau sur la piste Cyril Karaoglan, Philippe et Rita Bustros, Michèle Menassa Philippides, Michel Abou Khalil, Claude Tarazi, Michel et Paula Mokhbat, Naji et Hoda Skaff, et d'autres encore, dont Eddy et Mona Doumit, qui ont réalisé un rock'n'roll de haute volée.
L'histoire la plus drôle est rapportée par Amal Bustros. Antoine Nasrallah lui demande d'intercéder auprès de Danièle pour qu'elle l'épouse. Et Amal, qui a toujours de bonnes blagues en stock, de lui rétorquer : « Je lui ai fait parvenir ton message. Mais elle estime que tes caisses de prunes ne sont pas à la hauteur des coffrets de diamants que lui offrait Edgard ! »Ce soir-là, l'hôtesse portait une robe en jeans brodée de fleurs et au poignet un fabuleux bracelet serti de deux saphirs aussi gros, justement, que deux prunes.
Parmi les présents également, Sigrid Kaag ; le coordinateur spécial adjoint des Nations unies pour le Liban, Philippe Lazzarini ; Michèle de Freige; Jean et Nayla de Freige ; Marianne Hélou (Henri a fait un passage éclair); Mimo Skaff ; Jean-Marie et Dany Megarbané ; Samir et Laura Lahoud; Gaby et Marie-Claude Boustany ; Tarek et Éliane Mitri ; Raja et Nada Salamé ; Walid Mouzannar (sans Leila), Mohammad et Leila Rifaï ; Viviane Debbas ; Nabil et Nayla Kettaneh ; Zaza et Philippe Jabre, dont on a fêté également l'anniversaire, ce soir-là.
Et comme toutes les fêtes sont impensables sans de bons crus, Albert Bassoul a choisi avec soin le vin et le champagne. Quant à la décoration des lieux, elle a été réalisée avec brio par Asma Andraos et Stree. Et l'arrangement floral était naturellement signé Marwan Hamza, qui a proposé de véritables shoots de bonheur pollenisé.

Après les femmes, les musées...
Le PDG de Liban Post, Khalil Daoud, innove et étend le champ d'expression de l'institution : après deux émissions philatéliques mettant à l'honneur des dames d'ambition et de volonté (Alexandra Issa el-Khoury, Laure Moghaizel, Anissa Najjar, Mounira Solh), et des femmes de pouvoir (Myrna Boustany, Leila Solh Hamadé, Wafaa Hamza, Nina Trad, Thounaya Zeitouni et Edma Abou Chédid), ce sont trois institutions culturelles qui font désormais l'objet de nouveaux timbres : le musée national de Beyrouth, sous tutelle du ministère de la Culture ; le musée Nicolas Sursock, dont le comité est présidé par Tarek Mitri, et le musée des minéraux (mim) fondé par Salim Eddé.
Le lancement de ces timbres a eu lieu lors de la Journée internationale des musées, au cours d'une cérémonie tenue au musée Sursock en présence du ministre des Télécommunications Jamal Jarrah, du ministre de la Culture Ghattas Khoury, de Tarek Mitri, Salim Eddé, Suzy Hakimian, Anne-Marie Afeiche, Zeina Arida, Pierre Issa, Khalil Chbeir, Rony Richa, Rachid Achkar et la conceptrice des vignettes Mirna Kalfayan.
Toutes les émissions spéciales (150 catalogues brochés ou plaquettes numérotées) ont été ramassées ce jour-là par un grand nombre de collectionneurs présents, notamment le président du Club de philatélie Billy Karam, Gebran Yaacoub, Chucri Saba, Waëm Koraïha, Abdo Ayoub, le député Hagop Pakradounian, Abdallah Absi, Nadim Dergham et Khalil Berjaoui.
Mais ces messieurs nous ont laissé les timbres, pour nous mortels, en vente libre jusqu'à épuisement du stock. Ceux consacrés au musée national ont pour motifs la statue d'Hygeia, déesse gréco-romaine, et les sarcophages anthropoïdes. Ceux du musée Sursock représentent une illustration du somptueux bâtiment, construit en 1912, et le portrait de Nicolas Sursock réalisé par le peintre Philippe Mourani. Enfin, une impressionnante pépite d'or, ainsi que le bouquet d'aigue-marine image identitaire de mim, représentent le musée de la minéralogie.
Cela fait plaisir – et du bien – de mettre en valeur les aspects positifs du pays. À bon(s) entendeur(s)...

Le huit de Himaya
L'association Himaya, qui œuvre en faveur de l'innocence en danger, a fêté ses huit ans d'existence. Son équipe pluridisciplinaire, formée de 155 assistantes sociales et psychologues implantés dans sept régions du Liban (Baalbeck, Zahlé, Beyrouth, le Mont-Liban, Saïda, Akkar et Zghorta), a célébré l'évènement à Arnaoon village, restaurant perché au sommet d'une colline surplombant la forteresse historique de Msaylha.
Ils ont profité de ces retrouvailles tous ensemble pour échanger leurs pratiques sur le terrain ainsi que les moyens utilisés pour faire face aux difficultés rencontrées ou qui peuvent surgir. Car malgré toutes les bonnes volontés, il y a toujours du pain sur la planche. L'abus, la violence sexuelle et le trafic des mineurs existent au Liban. Selon les chiffres rapportés par le ministère de la Justice pour l'année 2011, 152 cas d'abus sexuels et 191 cas de prostitution sont parvenus au tribunal. Il ne s'agit là que des cas signalés, car le sujet reste un tabou pour les victimes. Puis sous un arbre de kharroub ombragé qui se balançait avec la brise printanière, l'équipe a entamé le grand gâteau en forme de huit, symbolisant le nombre d'années de leur action humanitaire, et savouré leur café avant de se quitter.

ditavonbliss@hotmail.com

Tout / tous pour FrançoisC'est quoi votre souvenir de soirée le plus mémorable ? François Barras n'hésite pas quand on lui pose la question. Et répond : Picciotto. Parce que qui dit soirée Picciotto, dit ambiance caliente. Cette fois encore Danièle a mis le paquet pour célébrer l'anniversaire de l'ambassadeur de Suisse. Une vraie fiesta qui a réuni 220 invités autour de la piscine du...

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