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Moyen Orient et Monde

L’ONU discute du contrôle des « zones de désescalade »

L’envoyé spécial des Nations unies pour la Syrie, Staffan de Mistura (à gauche), et Jan Egeland, chef du groupe de travail sur l’aide humanitaire en Syrie, lors de leur point de presse, hier. Fabrice Coffrini/AFP

L'ONU a indiqué hier qu'elle était en discussion avec l'Iran, la Russie et la Turquie au sujet du contrôle des zones de sécurité en Syrie, une question-clé après le refus de Damas d'accepter des observateurs internationaux. L'envoyé spécial des Nations unies pour la Syrie, Staffan de Mistura, et Jan Egeland, chef du groupe de travail sur l'aide humanitaire en Syrie, ont tous deux jugé prématuré d'exclure tout scénario. « J'ai rencontré les trois signataires d'Astana », a dit M. Egeland, en référence à l'accord signé dans la capitale du Kazakhstan par la Russie, l'Iran et la Turquie. « Ce qu'ils disent, c'est que nous nous asseyons maintenant et que nous nous mettions d'accord (...) sur qui devrait contrôler la sécurité et assurer la surveillance », a-t-il ajouté. Les forces des trois pays sont une option, tout comme de « tierces parties », selon M. Egeland. S'exprimant lors du même point de presse, M. de Mistura a rappelé que l'ONU avait « beaucoup d'expérience » en matière de surveillance, mais s'est refusé à discuter en détail de le mise en œuvre de l'accord d'Astana. Le chef de la diplomatie syrienne, Walid Moallem, a toutefois refusé que l'ONU ou des forces internationales soient chargées de surveiller les « zones de désescalade ».

L'ONU a indiqué hier qu'elle était en discussion avec l'Iran, la Russie et la Turquie au sujet du contrôle des zones de sécurité en Syrie, une question-clé après le refus de Damas d'accepter des observateurs internationaux. L'envoyé spécial des Nations unies pour la Syrie, Staffan de Mistura, et Jan Egeland, chef du groupe de travail sur l'aide humanitaire en Syrie, ont tous deux jugé...

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