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Moyen Orient et Monde

Macron commence à esquisser les contours de son gouvernement

Emmanuel Macron, grand favori de l'élection présidentielle, dessine à petites touches, au fil des déclarations, ce que sera son gouvernement s'il est élu, mais se garde bien de citer des noms ou de donner des indices sur ceux qui le composeraient. Son entourage dément les rumeurs selon lesquelles des contacts seraient déjà engagés.
« Il y a, comme tout au long de la campagne, des contacts avec des responsables politiques, dit ainsi Sylvain Fort, un de ses porte-parole. Mais, pour l'instant, il n'y a pas de tractations préliminaires au second tour pour constituer une première maquette de gouvernement. »
Emmanuel Macron, candidat hors parti qui a fait campagne sur la rupture avec le clivage droite-gauche, dit vouloir « permettre à toutes les sensibilités politiques républicaines d'avoir une part dans la gestion du pays », tout en s'en tenant au credo qui est le sien depuis le lancement de son mouvement. « Il n'y aura pas de coalition, ni avec Les Républicains (LR) ni avec le Parti socialiste », déclare-t-il dans Ouest-France. Il promet de former un gouvernement resserré d'une quinzaine de ministres « forts », respectant la parité homme-femme, dont « au moins un tiers » viendront de la société civile, précisait-il le 23 mars sur la chaîne parlementaire LCP et France bleu. Ce qui laisse peu de place à des professionnels de la politique.
Comme à chaque présidentielle, le jeu des pronostics sur la future équipe gouvernementale n'en bat pas moins désormais son plein, amplifié par la personnalité hors norme du candidat. Nombre de figures du PS et des Républicains, orphelins de leur propre parti, ou des personnalités de la société civile, se sont découvert depuis dimanche une compatibilité avec Emmanuel Macron et ont fait connaître leur disponibilité. L'ancien candidat LR à la primaire de la droite Bruno Le Maire a confié à BFM TV qu'il « pourrait travailler avec Emmanuel Macron ». Le président LR de la région Paca, Christian Estrosi, a pour sa part évoqué l'hypothèse de majorités de projets sur quelques réformes cruciales pour le pays.
Les noms des présidents de région Xavier Bertrand et Valérie Pécresse, de l'ex-candidate à la primaire de la droite Nathalie Kosciusko-Morizet, de proches du maire de Bordeaux Alain Juppé comme Édouard Philippe ou Benoist Apparu, voire du sarkozyste Thierry Solère circulent également dans la presse.
Source : AFP

Emmanuel Macron, grand favori de l'élection présidentielle, dessine à petites touches, au fil des déclarations, ce que sera son gouvernement s'il est élu, mais se garde bien de citer des noms ou de donner des indices sur ceux qui le composeraient. Son entourage dément les rumeurs selon lesquelles des contacts seraient déjà engagés.« Il y a, comme tout au long de la campagne, des...

commentaires (3)

Il prépare son ménage à 3 à l'Elysees, surtout .

FRIK-A-FRAK

13 h 55, le 29 avril 2017

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Commentaires (3)

  • Il prépare son ménage à 3 à l'Elysees, surtout .

    FRIK-A-FRAK

    13 h 55, le 29 avril 2017

  • YIA VACHE... YIA VACHE... ALLEZ-Y LANTANO... ATTENDEZ DE LE TIRER AVANT DE VENDRE SA PEAU... QUE DIABLE ! LEPEN N,EST PAS DU PAIN ET PEUT S,AVERER INDIGESTE !

    LA LIBRE EXPRESSION

    09 h 22, le 29 avril 2017

  • Il ferait bien de ne pas vendre la peau de l'ours avant de l'avoir tué. Même s'il est probable qu'il l'emporte dans huit jours, il reste les législatives, et ce n'est pas du tout cuit!

    Yves Prevost

    07 h 10, le 29 avril 2017

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