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Huit ans à la Maison Blanche : le bilan d'Obama - Etats-unis

Les huit phrases-clés des deux mandats Obama

Barack Obama, le 18 novembre 2016, achevant une visite à Berlin. AFP/Clemens Bilan

« Des générations d'Américains ont répondu au même credo, résumant l'esprit d'un peuple : Oui, nous le pouvons (Yes we can). » Le 8 janvier 2008, après la primaire démocrate du New Hampshire dans laquelle Hillary Clinton l'a dépassé de quelques points, Barack Obama prononce un discours devant ses partisans, réaffirmant sa volonté de ne pas baisser les bras.

« Mon travail est de résoudre les problèmes, non pas de rester sur la touche, de critiquer et de ronchonner. Donc j'accepte la mission. Je veux cette responsabilité. » Le 14 juillet 2009, Barack Obama prononce un discours au Macomb Community College à Warren, dans le Michigan, en réponse aux critiques sur « l'économie d'Obama ». Il y retourne le 8 septembre 2015 pour saluer les progrès faits en la matière.
« C'est un pays qui est toujours majoritairement chrétien, mais nous avons des juifs, des musulmans, des hindous, des agnostiques, des bouddhistes, et nous avons à révérer et à respecter leur propre chemin vers la grâce autant que le nôtre. C'est une partie de ce qui fait que ce pays est ce qu'il est. » Durant le petit déjeuner de prière nationale du 27 septembre 2010, Barack Obama réaffirme la diversité de croyance comme composante essentielle de la société américaine. Il y évoque sa foi, et avoue prier fréquemment.

 

 

« Trayvon Martin aurait pu être moi il y a trente-cinq ans. » Barack Obama s'exprime le 19 juillet 2013 suite au procès de George Zimmerman sur la BBC. Trayvon Martin, jeune Afro-Américain de 17 ans, avait été tué par balle l'année précédente par Zimmerman alors qu'il était non armé. L'affaire provoque un tollé au sein de la population américaine et relance le débat sur le traitement des communautés afro-américaines.

« Nous sommes la première génération à ressentir l'impact du changement climatique et la dernière qui peut y remédier. » Barack Obama prononce ces paroles à l'occasion du sommet sur le changement climatique à New York le 24 septembre 2014. Il annonce à cette occasion que les États-Unis vont respecter l'engagement qu'ils ont pris de réduire, à l'horizon 2020, leurs émissions de gaz à effet de serre de 17 % par rapport au niveau de 1990.

 

 

« Traiter les femmes en tant que citoyennes de seconde classe est une mauvaise tradition. Il n'y a pas d'excuse pour les agressions sexuelles ou la violence domestique. » D'origine kényane par son père, Barack Obama donne un discours sur la condition féminine au Kenya le 26 juillet 2015 à Nairobi. Il dénonce certaines traditions culturelles africaines telles que les mutilations génitales des jeunes filles et les mariages forcés.

« On ne peut pas vaincre une idéologie avec des armes à feu, on ne peut le faire qu'avec de meilleures idées. » Durant le sommet des dirigeants sur la lutte contre l'État islamique et l'extrémisme violent, au siège des Nations unies à New York, le 29 septembre 2015, Barack Obama énonce sa croyance profonde : la guerre contre le terrorisme ne se gagne pas uniquement sur les champs de bataille.

« Je vous demande de croire, non dans ma capacité d'apporter le changement, mais dans la vôtre (...) Oui, nous le pouvons. Oui, nous l'avons fait. (Yes we can. Yes we dit it). » Barack Obama fait ses adieux, après ses huit années au pouvoir, le 10 janvier 2017, à Chicago. Il avait mené sa campagne en 2008 sous le slogan « Yes, we can » et quitte la Maison-Blanche en concluant par « Yes, we did it ».

 

 

« Des générations d'Américains ont répondu au même credo, résumant l'esprit d'un peuple : Oui, nous le pouvons (Yes we can). » Le 8 janvier 2008, après la primaire démocrate du New Hampshire dans laquelle Hillary Clinton l'a dépassé de quelques points, Barack Obama prononce un discours devant ses partisans, réaffirmant sa volonté de ne pas baisser les bras.
« Mon travail est...