Devant un public nombreux se pressant jusqu'au portillon extérieur ainsi que dans les allées latérales de la cathédrale Saint-Georges des maronites, brillant coup d'envoi hier soir de la 9e édition du festival Beirut Chants. Entre puissance de souffle choral, chatoiement orchestral et divines mélodies solistes, la « Messe de gloire » de Rossini – portée par l'Orchestre philharmonique libanais sous la férule de Toufic Mlaatouk, ainsi que par les chœurs de l'Université antonine et de la NDU, et les solistes Laura Giordano, Cynthia Samaha, Filippo Adami, Bechara Mouffarej et Shady Torbey – a triomphé du froid, de la pluie et de la nuit. Fluide, lumineuse, majestueuse, la musique ici est fervente prière et éminente messagère de paix. E.D.
Culture - Beirut Chants
Rossini, messager de paix à Beyrouth
OLJ / le 02 décembre 2016 à 01h51
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