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Liban

Ils ont dit... sur la suspension du dialogue

Élie Marouni, député Kataëb.

- Ali Hassan Khalil, ministre des Finances, lors d'un séminaire à Jiyeh : « La suspension des séances de dialogue ajoute un nouveau défi à ceux que nous affrontons au niveau du blocage des institutions. Nous sommes attachés à la plateforme du dialogue qui était un facteur d'apaisement pour les Libanais en ce qu'elle constitue un espace de réunion des forces politiques dans toute leur diversité. Nous mettons l'accent sur la nécessité de chercher les moyens d'assurer la reprise du dialogue, laquelle est difficile mais non impossible, à condition que nous fassions prévaloir l'intérêt national sur nos intérêts personnels. À cet instant précis, le Liban a un besoin urgent de prendre conscience des dangers que traverse la région, et le monde n'étant pas préoccupé par nos problèmes intérieurs, nous devons traiter ceux-ci avec notre volonté nationale, à travers le dialogue national. »


- Le bureau politique du courant du Futur, dans un communiqué : « La suspension des travaux du dialogue national représente un pas en arrière dans la recherche des remèdes aux crises qui s'accumulent à l'échelle politique, économique et sociale... Pour épargner au pays le dérapage vers ce qui nuit à l'unité des Libanais et des institutions, il importe que les forces et leaderships concernés par le dialogue communiquent entre eux. »


- Élie Marouni, député Kataëb de Zahlé, à la Voix du Liban 100,3-100,5 : « Le parti Kataëb sait que le dialogue n'aboutira pas à des résultats miraculeux, mais je m'attache au maintien des discussions parce qu'elles représentent une soupape de sécurité permettant aux Libanais de résoudre les conflits. Je m'attends à ce que les répercussions de la suspension du dialogue s'étendent au gouvernement. La décision de boycotter les séances du dialogue avait été prise d'avance par le Courant patriotique libre, qui pratique tous les styles de chantage et de provocation pour arriver à ses fins. »


- Nehmé Tohmé, député du Chouf et membre du bloc joumblattiste, dans une déclaration : « Dans les circonstances difficiles que traverse le pays, le dialogue doit se poursuivre parce qu'il constitue le seul moyen pour les Libanais de se réunir. Les contacts sont en cours à plus d'un niveau pour trouver une solution à la suspension des discussions, d'autant que toutes les composantes politiques et sécuritaires sont lésées par cette situation. »


- L'ancien ministre baassiste Fayez Chokr, dans une déclaration : « La suspension du dialogue place le pays dans une situation de paralysie meurtrière, ce qui signifie que nous faisons face à des dangers effrayants. Les forces politiques et les leaderships doivent faire preuve de responsabilité en dépassant leurs divergences pour empêcher l'effondrement qui, s'il se produisait, n'épargnerait personne. »

- Ali Hassan Khalil, ministre des Finances, lors d'un séminaire à Jiyeh : « La suspension des séances de dialogue ajoute un nouveau défi à ceux que nous affrontons au niveau du blocage des institutions. Nous sommes attachés à la plateforme du dialogue qui était un facteur d'apaisement pour les Libanais en ce qu'elle constitue un espace de réunion des forces politiques dans...

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