Certains professeurs de la faculté ont laissé une trace indélébile. Tel a été le cas du professeur Josette Naffah, née Dumonceau, première femme à être doyenne de la faculté de médecine de l'USJ après la guerre civile libanaise. Discrète, élégante, intelligente mais toujours débordante d'activité comme une fourmi, j'ai eu l'occasion de publier avec elle un article sur «Les malformations fœtales à répétitions», publié dans le Journal médical libanais, volume 36 en 1986, où elle m'a conquis littéralement par ses connaissances valeureuses en génétique humaine. Son époux, le professeur Joseph Naffah, me donnait des cours de néphrologie. C'était un médecin érudit, cultivé et homme de droit, bref, l'idéal de l'honnête homme. En leur mémoire, je tire une profonde révérence, et sincères condoléances à leur famille et à ma chère faculté.
Dr Alexandre AOUN Chirurgien-gynécologue (Promotion 1974) Arabie saoudite
Certains professeurs de la faculté ont laissé une trace indélébile. Tel a été le cas du professeur Josette Naffah, née Dumonceau, première femme à être doyenne de la faculté de médecine de l'USJ après la guerre civile libanaise. Discrète, élégante, intelligente mais toujours débordante d'activité comme une fourmi, j'ai eu l'occasion de publier avec elle un article sur «Les malformations fœtales à répétitions», publié dans le Journal médical libanais, volume 36 en 1986, où elle m'a conquis littéralement par ses connaissances valeureuses en génétique humaine.Son époux, le professeur Joseph Naffah, me donnait des cours de néphrologie. C'était un médecin érudit, cultivé et homme de droit, bref, l'idéal de l'honnête homme.En leur mémoire, je tire une profonde révérence, et sincères condoléances à...
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