Le Liban aurait refusé une offre d'armement russe, croit savoir le quotidien al-Akhbar dans son édition de mercredi.
Beyrouth aurait ainsi refusé d'acheter à la Russie des lance-flammes lourds TOS-1 dans le cadre du don saoudien d'un milliard de dollars. Riyad avait personnellement chargé en août 2014 l'ancien Premier ministre libanais Saad Hariri du suivi de ce don, qui vient s'ajouter au don de trois milliards de dollars destiné à l'achat d'armes françaises.
Al-Akhbar précise que les crédits prévus pour ce don n'ont toujours pas été débloqués. Il souligne également que le camp du 14 Mars, dont M. Hariri fait partie, n'aurait pas voulu susciter l'ire de Washington en achetant des armes russes. Le Liban aurait ainsi décliné l'offre russe prétextant la courte portée des missiles en question et l'effet de destruction considérable du système qui pourrait contrevenir aux textes et lois internationaux.
Beyrouth aurait ainsi refusé d'acheter à la Russie des lance-flammes lourds TOS-1 dans le cadre du don saoudien d'un milliard de dollars. Riyad avait personnellement chargé en août 2014 l'ancien Premier ministre libanais Saad Hariri du suivi de ce don, qui vient s'ajouter au...
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