Le pape François a apporté vendredi son soutien au travail de l'Organisation pour l'interdiction des armes chimiques (OIAC), en Syrie et partout dans le monde, en recevant son directeur général au Vatican.
Cette audience privée du directeur de l'OIAC, le diplomate turc Ahmet Uzümcü, n'a fait l'objet d'aucun communiqué du Vatican. Elle souligne le soutien du Saint-Siège aux efforts réalisés pour éradiquer les armes chimiques dans le monde, et particulièrement au Moyen-Orient.
Selon un communiqué publié par la suite par l'OIAC à Bruxelles, le directeur général a exposé au pape "les tâches critiques qui ont été confiées à l'Organisation en Syrie pour vérifier l'élimination de ses armes chimiques et de ses capacités" d'en produire.
"Le Saint-Père a souligné que la communauté internationale doit rester unie dans son rejet des armes chimiques", a ajouté ce communiqué.
Le pape et M. Uzümcü ont encore convenu qu'elles "ne doivent avoir aucune place, et que la communauté internationale doit continuer ses efforts pour les éliminer et assurer qu'elles ne réapparaissent jamais".
"Un pas essentiel est de rendre universelle la convention sur les armes chimiques (CIAC)", ont souligné François et le diplomate turc, selon lesquels la chimie "ne doit être utilisée qu'à des fins pacifiques".
Le pape argentin avait lancé le 1er septembre un appel vigoureux pour une solution de dialogue et contre toute intervention étrangère dans la guerre en Syrie. Il avait condamné "avec une particulière fermeté" le recours aux armes chimiques le 21 août dans la banlieue de Damas.
"J'ai encore gravées dans l'esprit et le coeur les terribles images", avait déclaré le pape lors d'un Angelus sur la place Saint-Pierre, sans jamais désigner un responsable en particulier. "Il y a un jugement de Dieu et un jugement de l'Histoire sur nos actions auquel on ne peut pas échapper!", avait-il ajouté.
Les Etats-Unis, la France et de nombreux experts soutiennent que tous les éléments convergent pour incriminer l'armée du régime de Bachar al-Assad dans cette attaque chimique.
L'OIAC, qui met en oeuvre la Convention internationale pour l'interdiction des armes chimiques de 1997 (CIAC), a pour mission principale de vérifier leur destruction et de prendre les mesures propres à mettre fin à leur fabrication.
L'OIAC fournit une assistance et une protection à tout Etat partie faisant l'objet de menaces ou d'attaques à l'arme chimique.
Cette audience privée du directeur de l'OIAC, le diplomate turc Ahmet Uzümcü, n'a fait l'objet d'aucun communiqué du Vatican. Elle souligne le soutien du Saint-Siège aux efforts réalisés pour éradiquer les armes chimiques dans le monde, et particulièrement au Moyen-Orient.
Selon un communiqué publié par la suite par l'OIAC à Bruxelles, le directeur général a exposé au pape "les tâches critiques qui ont été confiées à l'Organisation en Syrie pour vérifier l'élimination de ses armes chimiques et de ses capacités" d'en produire.
"Le Saint-Père a souligné que la communauté internationale doit rester unie dans son rejet des armes chimiques", a ajouté ce communiqué.
Le pape et M. Uzümcü ont encore convenu qu'elles "ne doivent avoir aucune place, et que la communauté internationale doit continuer ses efforts pour les éliminer et assurer qu'elles ne réapparaissent jamais".
"Un pas essentiel est de rendre universelle la convention sur les armes chimiques (CIAC)", ont souligné François et le diplomate turc, selon lesquels la chimie "ne doit être utilisée qu'à des fins pacifiques".
Le pape argentin avait lancé le 1er septembre un appel vigoureux pour une solution de dialogue et contre toute intervention étrangère dans la guerre en Syrie. Il avait condamné "avec une particulière fermeté" le recours aux armes chimiques le 21 août dans la banlieue de Damas.
"J'ai encore gravées dans l'esprit et le coeur les terribles images", avait déclaré le pape lors d'un Angelus sur la place Saint-Pierre, sans jamais désigner un responsable en particulier. "Il y a un jugement de Dieu et un jugement de l'Histoire sur nos actions auquel on ne peut pas échapper!", avait-il ajouté.
Les Etats-Unis, la France et de nombreux experts soutiennent que tous les éléments convergent pour incriminer l'armée du régime de Bachar al-Assad dans cette attaque chimique.
L'OIAC, qui met en oeuvre la Convention internationale pour l'interdiction des armes chimiques de 1997 (CIAC), a pour mission principale de vérifier leur destruction et de prendre les mesures propres à mettre fin à leur fabrication.
L'OIAC fournit une assistance et une protection à tout Etat partie faisant l'objet de menaces ou d'attaques à l'arme chimique.
Le pape François a apporté vendredi son soutien au travail de l'Organisation pour l'interdiction des armes chimiques (OIAC), en Syrie et partout dans le monde, en recevant son directeur général au Vatican.Cette audience privée du directeur de l'OIAC, le diplomate turc Ahmet Uzümcü, n'a fait l'objet d'aucun communiqué du Vatican. Elle souligne le soutien du Saint-Siège aux efforts...
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