La France compte notamment sur le "soutien" des pays européens et des "pays de la région, notamment au sein de la Ligue arabe", a ajouté le chef du gouvernement, qui a ouvert le débat parlementaire mercredi à 16H00.
"Le président de la République a fait le choix de l'action. Le choix d'une action légitime, d'une action collective, d'une action réfléchie", a poursuivi M. Ayrault.
Il a répété que cette action "devra être ferme et proportionnée", reprenant les mots du président Hollande, ajoutant qu'elle devra être aussi "ponctuelle" et "viser des objectifs significatifs, mais ciblés".
Il a réaffirmé que la France "n'agira pas seule et joindra ses efforts à ceux d'autres partenaires, à commencer par les Etats-Unis". "Nous comptons également, a-t-il dit, sur le soutien des Européens et des pays de la région, notamment au sein de la Ligue arabe."
"Le président de la République poursuit son travail de conviction afin de réunir la coalition de soutiens la plus large", a dit encore M. Ayrault, en soulignant que la réunion du G20 à Saint-Pétersbourg "en sera l'occasion".
Les plus commentés
Un milliard d'euros pour aider le Liban ou pour... « acheter son silence » ?
Mikati : Le don de l'UE n'est pas une condition pour que les réfugiés syriens restent au Liban
Macron reçoit Joumblatt : la France « pleinement engagée » dans une désescalade au Liban-Sud