Il faut que la communauté internationale donne "un coup d'arrêt" au "crime" perpétré par le régime de Bachar al-Assad contre sa population à l'aide d'armes chimiques, a déclaré mercredi soir le numéro un du PS Harlem Désir, sur LCI.
"Il faut que tout soit fait pour que la communauté internationale mette un coup d'arrêt à l'utilisation de l'arme chimique par le régime syrien contre sa population", a souligné le Premier secrétaire.
Il s'agit de "rassembler au maximum la communauté internationale (...) en faisant en sorte que ce crime ne reste pas impuni pour qu'il ne puisse pas se reproduire", a-t-il ajouté.
Harlem Désir a souhaité d'autre part que les responsables de l'opposition "s'expriment avec un peu de retenue", s'en prenant en particulier à l'ancien Premier ministre UMP, François Fillon, "l'ami de M. Poutine".
François Fillon, a-t-il rappelé, "était aux côtés de Bachar al-Assad dans la tribune du 14 juillet (2008), quand il avait été invité par Nicolas Sarkozy".
"Je l'invite à cesser d'avoir une attitude politicienne quand il s'agit de faire en sorte que la France joue son rôle sur le plan international pour faire cesser ce massacre", a conclu le Premier secrétaire du PS.
Dans un communiqué publié un peu auparavant, Harlem Désir avait souligné notamment que le PS considérait que tolérer l'attaque chimique dont est accusé le régime de Bachar al-Assad "jetterait un discrédit durable et lourd de conséquences sur la sécurité internationale et l'interdiction des armes chimiques et biologiques".
"En utilisant volontairement l'arme chimique, l'Etat syrien a largement piétiné sa responsabilité de protéger son propre peuple", ajoutait M. Désir dans ce communiqué, signé également du secrétaire national à l'Europe et à l'international, Jean-Christophe Cambadélis, et du secrétaire national à la défense, Didier Boulaud.
"Il faut que tout soit fait pour que la communauté internationale mette un coup d'arrêt à l'utilisation de l'arme chimique par le régime syrien contre sa population", a souligné le Premier secrétaire.
Il s'agit de "rassembler au maximum la communauté internationale (...) en faisant en sorte que ce crime ne reste pas impuni pour qu'il ne puisse pas se reproduire", a-t-il ajouté.
Harlem Désir a souhaité d'autre part que les responsables de l'opposition "s'expriment avec un peu de retenue", s'en prenant en particulier à l'ancien Premier ministre UMP, François Fillon, "l'ami de M. Poutine".
François Fillon, a-t-il rappelé, "était aux côtés de Bachar al-Assad dans la tribune du 14 juillet (2008), quand il avait été invité par Nicolas Sarkozy".
"Je l'invite à cesser d'avoir une attitude politicienne quand il s'agit de faire en sorte que la France joue son rôle sur le plan international pour faire cesser ce massacre", a conclu le Premier secrétaire du PS.
Dans un communiqué publié un peu auparavant, Harlem Désir avait souligné notamment que le PS considérait que tolérer l'attaque chimique dont est accusé le régime de Bachar al-Assad "jetterait un discrédit durable et lourd de conséquences sur la sécurité internationale et l'interdiction des armes chimiques et biologiques".
"En utilisant volontairement l'arme chimique, l'Etat syrien a largement piétiné sa responsabilité de protéger son propre peuple", ajoutait M. Désir dans ce communiqué, signé également du secrétaire national à l'Europe et à l'international, Jean-Christophe Cambadélis, et du secrétaire national à la défense, Didier Boulaud.
Il faut que la communauté internationale donne "un coup d'arrêt" au "crime" perpétré par le régime de Bachar al-Assad contre sa population à l'aide d'armes chimiques, a déclaré mercredi soir le numéro un du PS Harlem Désir, sur LCI."Il faut que tout soit fait pour que la communauté internationale mette un coup d'arrêt à l'utilisation de l'arme chimique par le régime syrien contre...
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