"Aucune décision n'a été prise pour l'instant. Nous continuons à discuter avec nos partenaires internationaux de ce que la réponse appropriée doit être mais, dans ce cadre, nous préparons des plans militaires pour le cas échéant", a indiqué le porte-parole.
"Il s'agit d'examiner comment empêcher l'usage des armes chimiques parce que c'est quelque chose de totalement abject et contraire au droit international", a-t-il ajouté.
"Nous annoncerons plus tard dans la journée si oui ou non il y aura une convocation anticipée (du Parlement) pour discuter de ces questions", a poursuivi le porte-parole, alors que des députés ont appelé le Premier ministre à rappeler le Parlement, qui est en vacances jusqu'au 2 septembre.
David Cameron, qui a écourté ses vacances et se trouvait mardi à Downing Street, a discuté ces derniers jours avec plusieurs dirigants mondiaux dont les présidents russe Vladimir Poutine, américain Barack Obama et français François Hollande. Il continuera ses discussions pour décider d'une "réponse proportionnée" à l'attaque en Syrie du 21 août, a indiqué le porte-parole de Downing Street.
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