François Hollande a estimé dimanche qu'il y avait "un faisceau d'évidences" indiquant que l'attaque du 21 août en Syrie était "de nature chimique" et que "tout conduisait à considérer" que le régime syrien en était "responsable", selon l'Elysée.
Dans un communiqué, l'Elysée indique que le président s'est entretenu du dossier syrien avec le Premier ministre australien, Kevin Rudd.
A cette occasion, François Hollande "a estimé qu'il y avait désormais un faisceau d'évidences indiquant que l'attaque du 21 août était de nature chimique, et que tout conduisait à considérer le régime syrien comme le responsable de cet acte inqualifiable".
Il a aussi demandé que les inspecteurs des Nations Unies puissent avoir accès" sans délai et sans restriction aucune aux sites incriminés".
Le chef de l'Etat a enfin souligné "la qualité de la coopération avec l'Australie, qui prendra la présidence du Conseil de sécurité des Nations Unies au mois de septembre 2013, et la détermination de la France à ne pas laisser cet acte impuni", conclut le texte du communiqué.
Dans un communiqué, l'Elysée indique que le président s'est entretenu du dossier syrien avec le Premier ministre australien, Kevin Rudd.
A cette occasion, François Hollande "a estimé qu'il y avait désormais un faisceau d'évidences indiquant que l'attaque du 21 août était de nature chimique, et que tout conduisait à considérer le régime syrien comme le responsable de cet acte inqualifiable".
Il a aussi demandé que les inspecteurs des Nations Unies puissent avoir accès" sans délai et sans restriction aucune aux sites incriminés".
Le chef de l'Etat a enfin souligné "la qualité de la coopération avec l'Australie, qui prendra la présidence du Conseil de sécurité des Nations Unies au mois de septembre 2013, et la détermination de la France à ne pas laisser cet acte impuni", conclut le texte du communiqué.
François Hollande a estimé dimanche qu'il y avait "un faisceau d'évidences" indiquant que l'attaque du 21 août en Syrie était "de nature chimique" et que "tout conduisait à considérer" que le régime syrien en était "responsable", selon l'Elysée.Dans un communiqué, l'Elysée indique que le président s'est entretenu du dossier syrien avec le Premier ministre australien, Kevin Rudd.A...
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