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Liban - Jardin René Moawad

L’utopie pourrait-elle devenir réalité ?

Les promoteurs entourant Bilal Hamad au cours de la conférence de presse.


Une fontaine « dont le jet s’élèvera à une trentaine de mètres », un espace vert aménagé pour les enfants et le sport, un mur faisant honneur au héros de la ville et du pays, et même un amphithéâtre ouvert pour musiciens et artistes, évocatoire de l’antiquité grecque... Une utopie à Beyrouth ?
C’est cependant avec ces points-clés que la municipalité de Beyrouth a présenté son projet de rénovation pour le jardin René Moawad à Sanayeh. « Beyrouth, cette ville que le béton armé a presque engloutie, a besoin d’un tel espace vert », a déclaré hier Bilal Hamad, le président de la municipalité de Beyrouth, lors d’un point de presse. Les rénovations, entamées le 27 novembre 2012, sont prévues jusqu’au printemps. « C’est une promesse que nous faisons aux Beyrouthins », a-t-il affirmé, assurant que les travaux seront terminés a temps.
En réponse aux inquiétudes quant au projet initial de la municipalité, qui voulait construire un parking en dessous du parc, il a indiqué que des « études minutieuses en planning urbain » ont déterminé qu’un tel projet serait irréalisable sans compromettre la sérénité du jardin de Sanayeh. Le parking sera construit sur un terrain à Hamra. « Nous tenons à détromper tous ceux qui affirment que ce projet est lié d’une manière ou d’une autre aux affaires politiques du pays », a insisté M. Hamad, assurant que le jardin rénové est destiné « à tout Beyrouth, sans distinction entre les régions ou entre les quartiers ».
Quant au jardin des Jésuites qui, rappelons-le, a fait polémique lorsqu’un projet de parking souterrain y avait été envisagé, il a expliqué qu’une étude statistique avait été réalisée parmi les habitants de la région et avait déterminé la nécessité de construire un tel parking. Il était clair qu’il ne voulait aucunement s’attarder sur cette question.
Il est encourageant de voir que les complications politiques et militaires récentes dans le pays n’ont pas écœuré ces compagnies privées, à l’instar d’Azadea en l’occurrence, qui œuvrent, entre autres, pour le progrès. Exemple à suivre.
Une fontaine « dont le jet s’élèvera à une trentaine de mètres », un espace vert aménagé pour les enfants et le sport, un mur faisant honneur au héros de la ville et du pays, et même un amphithéâtre ouvert pour musiciens et artistes, évocatoire de l’antiquité grecque... Une utopie à Beyrouth ?C’est cependant avec ces points-clés que la municipalité de Beyrouth a présenté son projet de rénovation pour le jardin René Moawad à Sanayeh. « Beyrouth, cette ville que le béton armé a presque engloutie, a besoin d’un tel espace vert », a déclaré hier Bilal Hamad, le président de la municipalité de Beyrouth, lors d’un point de presse. Les rénovations, entamées le 27 novembre 2012, sont prévues jusqu’au printemps. « C’est une promesse que nous faisons aux Beyrouthins », a-t-il affirmé,...
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