Rechercher
Rechercher

Mode - Métiers de la mode

La success story de Slimi

Sleiman Dayya, alias « Slimi ».

Ses photos cartonnent sur les réseaux sociaux. Il faut imaginer des dizaines de clichés déments, soleil, mer, sable fin, cocktails de toutes les couleurs, et lui, petit bonhomme de 23 ans, pris en affection par des femmes sublimes qu’il sublime encore davantage. Sleiman Dayya est styliste. Avec un bac technique en décoration d’intérieur, son bagage était plutôt maigrichon pour lui permettre d’aller loin. C’était sans compter son talent et son incroyable audace créative. Il commence sa carrière comme arrangeur de vitrines chez Aïshti, travail qu’il exécute sous les directives de mentors envoyés par les plus grandes marques, Dior, Etro, Burberry, Fendi, Dolce&Gabbana, Bottega Veneta, YSL et d’autres. Sleiman apprend, enregistre, absorbe comme une éponge. Recruté par le groupe Bugatti aux Émirats, il est envoyé à Milan en tant qu’acheteur. C’est là qu’il a l’opportunité de rencontrer Roberto Cavalli et de lui expliquer son travail pour la marque à Dubaï. Le créateur s’intéresse à lui et lui donne carte blanche pour tout le secteur stylisme, y compris l’organisation de shoots pour les plus grands magazines de mode où il habille des gens comme Jennifer Lopez, Elisa Sednaoui, Chris Brown, Akon ou encore Jessica Kahawti, miss Monde 2012. Deux ans plus tard, c’est la maison Saint Laurent qui recrute « Slimi » comme directeur visuel régional. Le premier contact a eu lieu sur LinkedIn. Huit interviews plus tard, il était embauché. Sa plus grande joie ? La perspective de faire partie de l’équipe de stylistes qui habillera les mannequins pour le défilé Saint Laurent de la prochaine fashion week parisienne.
Ses photos cartonnent sur les réseaux sociaux. Il faut imaginer des dizaines de clichés déments, soleil, mer, sable fin, cocktails de toutes les couleurs, et lui, petit bonhomme de 23 ans, pris en affection par des femmes sublimes qu’il sublime encore davantage. Sleiman Dayya est styliste. Avec un bac technique en décoration d’intérieur, son bagage était plutôt maigrichon...

commentaires (0)

Commentaires (0)

Retour en haut