L'Arabie saoudite a exprimé lundi l'espoir de voir la stabilité rétablie au Liban après la désignation du député Tammam Salam comme Premier ministre, dans laquelle le royaume semble avoir joué un rôle de premier plan.
"L'Arabie saoudite exprime l'espoir de voir la désignation de M. Salam contribuer à la stabilité et la prospérité au Liban", a affirmé un communiqué du gouvernement saoudien, à l'issue de sa réunion hebdomadaire présidée par le prince héritier Salman ben Abdel Aziz.
Le royaume est "déterminé à développer ses relations privilégiées avec le Liban", a ajouté le communiqué.
Député de Beyrouth, Tammam Salam, 67 ans, un modéré issu de l'opposition dirigée par Saad Hariri, a été désigné samedi comme Premier ministre et s'est aussitôt engagé à protéger son pays des répercussions du conflit dans la Syrie voisine.
Il devait entamer demain ses consultations parlementaires pour former le gouvernement, une tâche difficile car il devra contenter aussi bien l'opposition soutenue par Washington et Ryad que le camp du Hezbollah, allié du régime syrien et de Téhéran, qui dominait le cabinet sortant.
Médias et experts ont souligné le rôle de l'Arabie saoudite, très influente au Liban, dans la nomination de M. Salam.
Son prédécesseur Nagib Mikati, qui avait démissionné il y a deux semaines, présidait un gouvernement où le mouvement Hezbollah était en position de force.
"L'Arabie saoudite exprime l'espoir de voir la désignation de M. Salam contribuer à la stabilité et la prospérité au Liban", a affirmé un communiqué du gouvernement saoudien, à l'issue de sa réunion hebdomadaire présidée par le prince héritier Salman ben Abdel Aziz.
Le royaume est "déterminé à développer ses relations privilégiées avec le Liban", a ajouté le communiqué.
Député de Beyrouth, Tammam Salam, 67 ans, un modéré issu de l'opposition dirigée par Saad Hariri, a été désigné samedi comme Premier ministre et s'est aussitôt engagé à protéger son pays des répercussions du conflit dans la Syrie voisine.
Il devait entamer demain ses consultations parlementaires pour former le gouvernement, une tâche difficile car il devra contenter aussi bien l'opposition soutenue par Washington et Ryad que le camp du Hezbollah, allié du régime syrien et de Téhéran, qui dominait le cabinet sortant.
Médias et experts ont souligné le rôle de l'Arabie saoudite, très influente au Liban, dans la nomination de M. Salam.
Son prédécesseur Nagib Mikati, qui avait démissionné il y a deux semaines, présidait un gouvernement où le mouvement Hezbollah était en position de force.
L'Arabie saoudite a exprimé lundi l'espoir de voir la stabilité rétablie au Liban après la désignation du député Tammam Salam comme Premier ministre, dans laquelle le royaume semble avoir joué un rôle de premier plan."L'Arabie saoudite exprime l'espoir de voir la désignation de M. Salam contribuer à la stabilité et la prospérité au Liban", a affirmé un communiqué du gouvernement...
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