Répondant à l'appel du Collectif pour la libération de Georges Ibrahim Abdallah, les partisans et les proches de l'activiste ont manifesté dimanche devant l'ambassade de France à Beyrouth pour protester contre le retard mis par les autorités françaises à répondre favorablement à la demande de sa libération conditionnelle.
Selon l'Agence nationale d'information (ANI, officielle), le Collectif a estimé que le retard dans ce dossier "prouve que la France viole ses propres lois et la charte des droits de l'homme".
Jeudi, la Chambre d'application des peines (Chap) a examiné un appel du Parquet, contestant le report de la décision finale du Tribunal d'application des peines (TAP) de Paris sur la demande de libération conditionnelle de l'ancien activiste libanais, dans l'attente d'un hypothétique arrêté d'expulsion signé par le ministère de l'Intérieur.
Elle a mis sa décision en délibéré au 21 mars à l'issue d'une audience à huis-clos.
Selon plusieurs médias libanais, les manifestants n'ont pas eu recours à une escalade afin de permettre au gouvernement libanais de résoudre ce dossier à travers une mission diplomatique.
Selon l'Agence nationale d'information (ANI, officielle), le...
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