«Depuis deux ans, nous avons vécu deux de nos meilleures années aussi : nous sommes en progression par rapport à l’an dernier et en très bonne position par rapport à nos concurrents», a expliqué l’Américain Steven Murphy.
«Les soubresauts de l’économie dans le monde n’ont pas affecté le secteur artistique», a-t-il jugé, grâce, depuis quelques années, au «tourbillon qui s’est emparé du marché de l’art qui a atténué les effets de la crise».
Parmi les explications figurent «l’essor de la communication numérique et d’Internet qui ont fait exploser les ventes d’objets», la «mondialisation du business de l’art» et la fréquentation «record» des musées et expositions.
«L’Asie est la région du monde où nous enregistrons notre plus forte progression», a détaillé le patron de Christie’s.
En Chine cependant, «cette année nous avons constaté une baisse de notre activité de 20%, du fait du ralentissement économique et d’un certain attentisme avant le changement de gouvernement», a-t-il ajouté, en se déclarant «très confiant sur la croissance à venir».
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