Un tribunal irakien a décidé lundi la remise en liberté faute de preuves d'un activiste présumé du Hezbollah libanais, dernier prisonnier remis par les forces américaines à l'Irak avant leur départ fin 2011, a indiqué son avocat à l'AFP.
"La cour criminelle centrale d'Irak a publié aujourd'hui une déclaration de remise en liberté de Ali (Moussa) Daqdouq en raison de l'absence de preuves de sa culpabilité", a déclaré Me Abdelmahdi al-Moutairi.
"Aucun document démontrant sa culpabilité n'a été fourni et tout ce qui a été montré était des copies et non des originaux. Il n'existe pas de témoignage (lié aux accusations de 2007) et les accusations sont sans fondement", a-t-il ajouté. La date de sa libération n'était pas connue dans l'immédiat.
Le 16 décembre 2011, les Etats-Unis avaient annoncé que leur armée avait remis aux autorités en Irak leur dernier prisonnier, soupçonné d'être impliqué dans une attaque ayant coûté la vie à cinq soldats américains en 2007 en Irak.
La capture du Libanais Ali Moussa Daqdouq dans le sud de l'Irak avait été annoncée en juillet 2007 par l'armée américaine. Les Etats-Unis assuraient qu'il s'agissait d'un agent du mouvement chiite libanais venu en Irak entraîner des insurgés avec l'aide de la force Qods, unité d'élite des Gardiens de la révolution iraniens.
Lors d'un raid en janvier 2007 à Kerbala au sud de Bagdad, des hommes armés avaient tué un soldat américain et en avaient enlevé quatre autres qu'ils avaient ensuite abattus, une opération élaborée dont la planification avait été attribuée par l'armée américaine à la force iranienne Qods.
Le porte-parole de la Maison Blanche, Jay Carney, avait affirmé en décembre dernier que les Etats-Unis avaient reçu des Irakiens "l'assurance qu'il serait poursuivi pour ses crimes".
"La cour criminelle centrale d'Irak a publié aujourd'hui une déclaration de remise en liberté de Ali (Moussa) Daqdouq en raison de l'absence de preuves de sa culpabilité", a déclaré Me Abdelmahdi al-Moutairi.
"Aucun document démontrant sa culpabilité n'a été fourni et tout ce qui a été montré était des copies et non des originaux. Il n'existe pas de témoignage (lié aux accusations de 2007) et les accusations sont sans fondement", a-t-il ajouté. La date de sa libération n'était pas connue dans l'immédiat.
Le 16 décembre 2011, les Etats-Unis avaient annoncé que leur armée avait remis aux autorités en Irak leur dernier prisonnier, soupçonné d'être impliqué dans une attaque ayant coûté la vie à cinq soldats américains en 2007 en Irak.
La capture du Libanais Ali Moussa Daqdouq dans le sud de l'Irak avait été annoncée en juillet 2007 par l'armée américaine. Les Etats-Unis assuraient qu'il s'agissait d'un agent du mouvement chiite libanais venu en Irak entraîner des insurgés avec l'aide de la force Qods, unité d'élite des Gardiens de la révolution iraniens.
Lors d'un raid en janvier 2007 à Kerbala au sud de Bagdad, des hommes armés avaient tué un soldat américain et en avaient enlevé quatre autres qu'ils avaient ensuite abattus, une opération élaborée dont la planification avait été attribuée par l'armée américaine à la force iranienne Qods.
Le porte-parole de la Maison Blanche, Jay Carney, avait affirmé en décembre dernier que les Etats-Unis avaient reçu des Irakiens "l'assurance qu'il serait poursuivi pour ses crimes".
Un tribunal irakien a décidé lundi la remise en liberté faute de preuves d'un activiste présumé du Hezbollah libanais, dernier prisonnier remis par les forces américaines à l'Irak avant leur départ fin 2011, a indiqué son avocat à l'AFP."La cour criminelle centrale d'Irak a publié aujourd'hui une déclaration de remise en liberté de Ali (Moussa) Daqdouq en raison de l'absence de...
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