Dans ce texte, le groupuscule affirme avoir piégé un véhicule des forces gouvernementales qui a ensuite explosé "devant un bâtiment connu comme celui du Conseil culturel iranien, une couverture pour les renseignements iraniens à travers le monde".
Le Front al-Nosra, qui dénonce le "régime tyrannique" du président Bachar al-Assad, affirme qu'il poursuivra ses opérations "partout jusqu'à ce que les ennemis de Dieu soient anéantis et que le drapeau de l'Islam soit hissé sur le sol syrien".
Trois personnes avaient été blessées lors de cette attaque le 24 avril dans le quartier commerçant de Marjé, dans le centre de Damas, selon la télévision officielle al-Ikhbariya.
Le groupuscule, inconnu avant la révolte en Syrie, avait auparavant revendiqué dans des communiqués et des vidéos mises en ligne sur des sites islamistes des attaques qui avaient fait des dizaines de morts, notamment à Damas et à Alep (nord).
La presse syrienne a affirmé dimanche qu'Al-Qaïda était derrière ces attentats.
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