Le Conseil national syrien (CNS), principale coalition de l'opposition syrienne, a salué samedi le vote du Conseil de sécurité de l'ONU autorisant l'envoi de 300 observateurs pour surveiller le cessez-le-feu, affirmant qu'il répondait aux "demandes du peuple syrien".
"Sans aucun doute, l'envoi de nouveaux observateurs est une demande du peuple syrien et des révolutionnaires qui manifestent chaque jour", a déclaré à l'AFP George Sabra, porte-parole du CNS, se félicitant de cette décision prise à l'unanimité.
"Mais je ne pense pas que 300 observateurs suffiront pour un pays comme la Syrie où la révolution touche l'ensemble des villes et des villages", a-t-il toutefois ajouté, appelant à élargir à nouveau cette mission d'observation pour la rendre "plus efficace".
Il a en outre estimé que "le principal problème actuellement, c'est que le régime ne respecte absolument pas le plan de l'émissaire international Kofi Annan" qui prévoit notamment le retrait des troupes des villes, la libération des détenus incarcérés dans le cadre de la révolte et l'accès des humanitaires et de la presse.
Une première équipe avancée d'observateurs est en Syrie depuis six jours pour surveiller le cessez-le-feu entrée officiellement entré en vigueur le 12 avril mais sérieusement compromis par la mort de plus de 200 personnes en 10 jours.
Les 300 observateurs militaires non armés doivent être déployés "rapidement" et "pour une période initiale de 90 jours", selon le texte co-parrainé par la Russie, la France, la Chine et l'Allemagne notamment.
Il incombera cependant au secrétaire général de l'ONU Ban Ki-moon de décider si ces 300 observateurs peuvent être déployés en fonction de la situation sur le terrain.
La trêve est censée mettre fin aux violences qui ont fait plus de 11.100 morts, selon l'Observatoire syrien des droits de l'Homme (OSDH), 13 mois après l'éclatement d'une révolte populaire réprimée dans le sang par le régime de Bachar al-Assad.
"Sans aucun doute, l'envoi de nouveaux observateurs est une demande du peuple syrien et des révolutionnaires qui manifestent chaque jour", a déclaré à l'AFP George Sabra, porte-parole du CNS, se félicitant de cette décision prise à l'unanimité.
"Mais je ne pense pas que 300 observateurs suffiront pour un pays comme la Syrie où la révolution touche l'ensemble des villes et des villages", a-t-il toutefois ajouté, appelant à élargir à nouveau cette mission d'observation pour la rendre "plus efficace".
Il a en outre estimé que "le principal problème actuellement, c'est que le régime ne respecte absolument pas le plan de l'émissaire international Kofi Annan" qui prévoit notamment le retrait des troupes des villes, la libération des détenus incarcérés dans le cadre de la révolte et l'accès des humanitaires et de la presse.
Une première équipe avancée d'observateurs est en Syrie depuis six jours pour surveiller le cessez-le-feu entrée officiellement entré en vigueur le 12 avril mais sérieusement compromis par la mort de plus de 200 personnes en 10 jours.
Les 300 observateurs militaires non armés doivent être déployés "rapidement" et "pour une période initiale de 90 jours", selon le texte co-parrainé par la Russie, la France, la Chine et l'Allemagne notamment.
Il incombera cependant au secrétaire général de l'ONU Ban Ki-moon de décider si ces 300 observateurs peuvent être déployés en fonction de la situation sur le terrain.
La trêve est censée mettre fin aux violences qui ont fait plus de 11.100 morts, selon l'Observatoire syrien des droits de l'Homme (OSDH), 13 mois après l'éclatement d'une révolte populaire réprimée dans le sang par le régime de Bachar al-Assad.
Le Conseil national syrien (CNS), principale coalition de l'opposition syrienne, a salué samedi le vote du Conseil de sécurité de l'ONU autorisant l'envoi de 300 observateurs pour surveiller le cessez-le-feu, affirmant qu'il répondait aux "demandes du peuple syrien"."Sans aucun doute, l'envoi de nouveaux observateurs est une demande du peuple syrien et des révolutionnaires qui manifestent...
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