Israël a relâché six des 27 passagers et membres d'équipages des deux bateaux arraisonnés vendredi alors qu'ils tentaient de briser le blocus israélien de la bande de Gaza, a déclaré une porte-parole du service de l'immigration au ministère de l'Intérieur.
Des commandos de la marine israélienne ont arraisonné vendredi après-midi le Saoirse ("Liberté" en gaélique) et le Tahrir ("Libération" en arabe), qui battaient pavillons irlandais et canadien. Les deux bateaux ont été escortés au port israélien d'Ashdod, au sud de Tel-Aviv.
Les six personnes relâchées sont deux membres d'équipage grecs, trois journalistes et un Arabe israélien, a expliqué à l'AFP la porte-parole Sabine Haddad.
Les 21 autres passagers étaient en détention à Ramla, près de Tel-Aviv, a-t-elle ajouté, précisant que les démarches d'expulsion dont ils font l'objet prenaient au moins 72 heures.
Parmi ces personnes figurent 14 Irlandais et des ressortissants du Canada, du Royaume-Uni, d'Autralie et des Etats-Unis.
Ils "peuvent partir dès à présent s'ils renoncent à être entendus par le juge qui doit prononcer leur expulsion, mais pour l'instant ils ont tous refusé de signer un document en ce sens", a précisé samedi soir Mme Haddad.
Partis de Turquie, les deux navires qui transportaient des médicaments à destination de l'enclave palestinienne avaient reçu pour consigne de ne pas opposer de résistance à la marine israélienne.
Israël, qui considère comme des "provocations" les tentatives même symboliques de briser le blocus de la bande de Gaza, défend régulièrement son droit à maintenir le blocus de la bande de Gaza afin d'empêcher la contrebande d'armes.
Une précédente flottille pro-palestinienne avait été arrêtée en mai 2010 par la marine israélienne lors d'un raid très controversé qui a fait neuf morts parmi des militants et provoqué une crise diplomatique entre la Turquie et Israël.
Une deuxième flottille a essayé de partir de Grèce en juillet, mais les autorités grecques lui ont interdit d'appareiller. Seul un petit yacht français avait échappé à la vigilance des garde-côtes grecs, avant d'être intercepté par la marine israélienne.
Des commandos de la marine israélienne ont arraisonné vendredi après-midi le Saoirse ("Liberté" en gaélique) et le Tahrir ("Libération" en arabe), qui battaient pavillons irlandais et canadien. Les deux bateaux ont été escortés au port israélien d'Ashdod, au sud de Tel-Aviv.
Les six personnes relâchées sont deux membres d'équipage grecs, trois journalistes et un Arabe israélien, a expliqué à l'AFP la porte-parole Sabine Haddad.
Les 21 autres passagers étaient en détention à Ramla, près de Tel-Aviv, a-t-elle ajouté, précisant que les démarches d'expulsion dont ils font l'objet prenaient au moins 72 heures.
Parmi ces personnes figurent 14 Irlandais et des ressortissants du Canada, du Royaume-Uni, d'Autralie et des Etats-Unis.
Ils "peuvent partir dès à présent s'ils renoncent à être entendus par le juge qui doit prononcer leur expulsion, mais pour l'instant ils ont tous refusé de signer un document en ce sens", a précisé samedi soir Mme Haddad.
Partis de Turquie, les deux navires qui transportaient des médicaments à destination de l'enclave palestinienne avaient reçu pour consigne de ne pas opposer de résistance à la marine israélienne.
Israël, qui considère comme des "provocations" les tentatives même symboliques de briser le blocus de la bande de Gaza, défend régulièrement son droit à maintenir le blocus de la bande de Gaza afin d'empêcher la contrebande d'armes.
Une précédente flottille pro-palestinienne avait été arrêtée en mai 2010 par la marine israélienne lors d'un raid très controversé qui a fait neuf morts parmi des militants et provoqué une crise diplomatique entre la Turquie et Israël.
Une deuxième flottille a essayé de partir de Grèce en juillet, mais les autorités grecques lui ont interdit d'appareiller. Seul un petit yacht français avait échappé à la vigilance des garde-côtes grecs, avant d'être intercepté par la marine israélienne.
Israël a relâché six des 27 passagers et membres d'équipages des deux bateaux arraisonnés vendredi alors qu'ils tentaient de briser le blocus israélien de la bande de Gaza, a déclaré une porte-parole du service de l'immigration au ministère de l'Intérieur.Des commandos de la marine israélienne ont arraisonné vendredi après-midi le Saoirse ("Liberté" en gaélique) et le Tahrir...
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