Le secrétaire général adjoint du Hezbollah, cheikh Naïm Kassem a souligné, dimanche, que toutes les questions peuvent être discutées librement au Conseil des ministres, où chacun a son propre point de vue.
"Mais en l'absence d'un accord, notamment sur les dossiers compliqués, il faut recourir au vote", a souligné le numéro deux du parti de Dieu. "Par le vote, la majorité détermine la direction et les autres doivent s'y conformer" a-t-il ajouté.
"De cette manière, nous aurions traduit l'engagement à l'égard du système libanais, en ce qui concerne la formation du gouvernement, sa déclaration ministérielle et les décisions à prendre" a estimé cheikh Kassem.
"Mais en l'absence d'un accord, notamment sur les dossiers compliqués, il faut recourir au vote", a souligné le numéro deux du parti de Dieu. "Par le vote, la majorité détermine la direction et les autres doivent s'y conformer" a-t-il ajouté.
"De cette manière, nous aurions traduit l'engagement à l'égard du système libanais, en ce qui concerne la formation du gouvernement, sa déclaration ministérielle et les décisions à prendre" a estimé cheikh Kassem.
Le secrétaire général adjoint du Hezbollah, cheikh Naïm Kassem a souligné, dimanche, que toutes les questions peuvent être discutées librement au Conseil des ministres, où chacun a son propre point de vue. "Mais en l'absence d'un accord, notamment sur les dossiers compliqués, il faut recourir au vote", a souligné le numéro deux du parti de Dieu. "Par le vote, la majorité détermine la...
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