« J’ai quelques pistes, d’ici à une semaine ça devrait être bon », a déclaré la Stéphanoise qui s’est séparée juste avant Wimbledon d’Alexia Dechaume-Balleret, mise à disposition par la Fédération française depuis le printemps.
« On a décidé d’arrêter car on n’avait pas la même vision des choses. Pour la suite ça ne peut pas être pire que ce que j’ai vécu depuis le début de l’année », a ajouté Rezaï. Elle était retombée au 61e rang mondial après un début d’année calamiteux marqué par ses démêlés avec son père, Arsalan, contre lequel elle a porté plainte il y a deux semaines pour violences et menaces de mort.
commentaires (0)
Commenter