Le président des Etats-Unis Barack Obama recevait lundi le secrétaire général des Nations unies Ban Ki-moon pour évoquer en particulier la situation en Libye, où le pouvoir du colonel Kadhafi est ébranlé par une révolte sans précédent contre son régime.
MM. Obama et Ban se sont retrouvés en début d'après-midi dans le Bureau ovale de la Maison Blanche, en compagnie de l'ambassadrice américaine à l'ONU Susan Rice, a constaté un photographe de l'AFP. Ils n'ont fait aucune déclaration et les journalistes ont ensuite été invités à quitter la pièce.
Lundi matin, le porte-parole de M. Obama, Jay Carney, avait souligné que la situation en Libye serait "au programme" de leur rencontre, et précisé que Mme Rice s'adresserait ensuite aux journalistes dans la salle de presse de la Maison Blanche, où un point est prévu à 15H00 (20H00 GMT).
Les Etats-Unis ont fait monter la pression sur le colonel Kadhafi lundi en annonçant l'arrivée dans la région de forces navales et aériennes, tandis que M. Carney estimait que l'exil du dirigeant constituait "une possibilité" pour mettre fin à l'insurrection sanglante dans le pays.
M. Carney a répété que le colonel Kadhafi devait "s'écarter" du pouvoir, comme l'avait déclaré pour la première fois samedi le président Obama. Mais le dirigeant libyen a ignoré ces requêtes.
"Mon peuple m'adore. Ils mourraient pour me protéger", a-t-il affirmé lundi dans un entretien à plusieurs médias, dont la chaîne de télévision américaine ABC.
MM. Obama et Ban se sont retrouvés en début d'après-midi dans le Bureau ovale de la Maison Blanche, en compagnie de l'ambassadrice américaine à l'ONU Susan Rice, a constaté un photographe de l'AFP. Ils n'ont fait aucune déclaration et les journalistes ont ensuite été invités à quitter la pièce.
Lundi matin, le porte-parole de M. Obama, Jay Carney, avait souligné que la situation en Libye serait "au programme" de leur rencontre, et précisé que Mme Rice s'adresserait ensuite aux journalistes dans la salle de presse de la Maison Blanche, où un point est prévu à 15H00 (20H00 GMT).
Les Etats-Unis ont fait monter la pression sur le colonel Kadhafi lundi en annonçant l'arrivée dans la région de forces navales et aériennes, tandis que M. Carney estimait que l'exil du dirigeant constituait "une possibilité" pour mettre fin à l'insurrection sanglante dans le pays.
M. Carney a répété que le colonel Kadhafi devait "s'écarter" du pouvoir, comme l'avait déclaré pour la première fois samedi le président Obama. Mais le dirigeant libyen a ignoré ces requêtes.
"Mon peuple m'adore. Ils mourraient pour me protéger", a-t-il affirmé lundi dans un entretien à plusieurs médias, dont la chaîne de télévision américaine ABC.
Le président des Etats-Unis Barack Obama recevait lundi le secrétaire général des Nations unies Ban Ki-moon pour évoquer en particulier la situation en Libye, où le pouvoir du colonel Kadhafi est ébranlé par une révolte sans précédent contre son régime.MM. Obama et Ban se sont retrouvés en début d'après-midi dans le Bureau ovale de la Maison Blanche, en compagnie de l'ambassadrice...
Les plus commentés
Un milliard d'euros pour aider le Liban ou pour... « acheter son silence » ?
Le Liban n'a pas besoin d'argent, mais d'une décision politique pour renvoyer les migrants syriens, tacle Bassil
Le médecin britanno-palestinien Ghassan Abou Sitta, venu témoigner de la situation à Gaza, refoulé en France