Le président Nicolas Sarkozy a proposé dimanche soir la création d'un "groupe de contact" entre pays qui seraient prêts à mettre en commun leurs efforts pour aider le Liban à surmonter sa crise gouvernementale, a annoncé l'Elysée dans un communiqué.
Le chef de l'Etat, est-il précisé, "a mené de nombreux contacts sur la situation au Liban ces derniers jours, notamment avec le Premier ministre libanais Saad Hariri, le roi Abdallah d'Arabie Saoudite, le président Bachar el-Assad de Syrie, le Premier ministre Erdogan de Turquie, l'émir de Qatar et le président (américain Barack) Obama".
M. Sarkozy "a proposé qu'un +groupe de contact+ de pays entretenant des liens particuliers avec le Liban et la région mettent leurs efforts en commun pour aider le Liban à surmonter les difficultés auxquelles il est actuellement confronté", est-il ajouté.
"La France poursuivra ce dialogue avec les pays pressentis ou qui ont manifesté leur intérêt pour participer à ce groupe informel afin de déterminer avec eux le contenu et les modalités d'une action conjointe pour contribuer à préserver la stabilité du Liban dans le respect de ses institutions démocratiques, de sa souveraineté et de son indépendance", est-il encore écrit dans le communiqué.
Il est précisé qu'"une réunion sera proposée dans de brefs délais" et que le secrétaire général de l'ONU Ban Ki-moon "est tenu informé de cette démarche".
Jeudi dernier, Saad Hariri avait été reçu à l'Elysée par le président Sarkozy lors d'un deuxième entretien en l'espace d'une semaine, après un échange à New York.
La coalition gouvernementale du Premier ministre libanais s'est effondrée la semaine dernière, après la démission des ministres du Hezbollah et de ses alliés. Cette crise politique fait craindre une résurgence des violences et inquiète la communauté internationale.
Le Hezbollah, qui s'attend à être mis en cause dans le meurtre de Rafic Hariri, en 2005, avait fait pression sans succès sur son fils, Saad Hariri, pour qu'il désavoue le Tribunal spécial pour le Liban (TSL) enquêtant sur cet assassinat. Lundi le TSL doit remettre son acte d'accusation lors d'une audience à huis clos.
Le chef de l'Etat, est-il précisé, "a mené de nombreux contacts sur la situation au Liban ces derniers jours, notamment avec le Premier ministre libanais Saad Hariri, le roi Abdallah d'Arabie Saoudite, le président Bachar el-Assad de Syrie, le Premier ministre Erdogan de Turquie, l'émir de Qatar et le président (américain Barack) Obama".
M. Sarkozy "a proposé qu'un +groupe de contact+ de pays entretenant des liens particuliers avec le Liban et la région mettent leurs efforts en commun pour aider le Liban à surmonter les difficultés auxquelles il est actuellement confronté", est-il ajouté.
"La France poursuivra ce dialogue avec les pays pressentis ou qui ont manifesté leur intérêt pour participer à ce groupe informel afin de déterminer avec eux le contenu et les modalités d'une action conjointe pour contribuer à préserver la stabilité du Liban dans le respect de ses institutions démocratiques, de sa souveraineté et de son indépendance", est-il encore écrit dans le communiqué.
Il est précisé qu'"une réunion sera proposée dans de brefs délais" et que le secrétaire général de l'ONU Ban Ki-moon "est tenu informé de cette démarche".
Jeudi dernier, Saad Hariri avait été reçu à l'Elysée par le président Sarkozy lors d'un deuxième entretien en l'espace d'une semaine, après un échange à New York.
La coalition gouvernementale du Premier ministre libanais s'est effondrée la semaine dernière, après la démission des ministres du Hezbollah et de ses alliés. Cette crise politique fait craindre une résurgence des violences et inquiète la communauté internationale.
Le Hezbollah, qui s'attend à être mis en cause dans le meurtre de Rafic Hariri, en 2005, avait fait pression sans succès sur son fils, Saad Hariri, pour qu'il désavoue le Tribunal spécial pour le Liban (TSL) enquêtant sur cet assassinat. Lundi le TSL doit remettre son acte d'accusation lors d'une audience à huis clos.
Le président Nicolas Sarkozy a proposé dimanche soir la création d'un "groupe de contact" entre pays qui seraient prêts à mettre en commun leurs efforts pour aider le Liban à surmonter sa crise gouvernementale, a annoncé l'Elysée dans un communiqué.Le chef de l'Etat, est-il précisé, "a mené de nombreux contacts sur la situation au Liban ces derniers jours, notamment avec le Premier...
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