La socialiste française Ségolène Royal a jugé samedi "important" que son parti "puisse se constituer en force d'observation" dans l'organisation de futures élections libres en Tunisie, proposant sa propre présence comme "garantie".
"Il ne faut pas voler au peuple tunisien cette victoire, et en tous cas, si je puis être utile, le moment venu, bien sûr que je serai au côté du peuple tunisien y compris pour une présence lors de l'organisation de ces élections s'il y a besoin de caution, de garantie", a déclaré à Paris Mme Royal, qui souhaite être la candidate du Parti socialiste à la présidentielle de 2012,
"Il est important que le PS et les socialistes soient là et puisse se constituer en force d'observation", a ajouté Mme Royal, également vice-présidente de l'Internationale socialiste.
"En tous cas, c'est une offre de mise à disposition du Parti socialiste, des militants socialistes, des militants de gauche", a-t-elle poursuivi.
Pour elle, "il aurait été inacceptable que le président Ben Ali arrive sur le sol français, le gouvernement actuel l'a refusé parce qu'il sait que le peuple français et les Tunisiens présents en France n'auraient pas accepté cette arrivée en France".
Interrogée sur le fait que des proches ont trouvé refuge dans un hôtel à Marne-la-Vallée, près de Paris, Mme Royal a répondu "que la famille de M. Ben Ali n'a aucune justification d'une présence en France".
"Ils sont arrivés jeudi en catimini. Il faut être cohérent et je ne vois pas au nom de quoi on expulserait certains sans papiers et au nom de quoi la France accueillerait la famille d'un dictateur", a-t-elle dit.
"Il ne faut pas voler au peuple tunisien cette victoire, et en tous cas, si je puis être utile, le moment venu, bien sûr que je serai au côté du peuple tunisien y compris pour une présence lors de l'organisation de ces élections s'il y a besoin de caution, de garantie", a déclaré à Paris Mme Royal, qui souhaite être la candidate du Parti socialiste à la présidentielle de 2012,
"Il est important que le PS et les socialistes soient là et puisse se constituer en force d'observation", a ajouté Mme Royal, également vice-présidente de l'Internationale socialiste.
"En tous cas, c'est une offre de mise à disposition du Parti socialiste, des militants socialistes, des militants de gauche", a-t-elle poursuivi.
Pour elle, "il aurait été inacceptable que le président Ben Ali arrive sur le sol français, le gouvernement actuel l'a refusé parce qu'il sait que le peuple français et les Tunisiens présents en France n'auraient pas accepté cette arrivée en France".
Interrogée sur le fait que des proches ont trouvé refuge dans un hôtel à Marne-la-Vallée, près de Paris, Mme Royal a répondu "que la famille de M. Ben Ali n'a aucune justification d'une présence en France".
"Ils sont arrivés jeudi en catimini. Il faut être cohérent et je ne vois pas au nom de quoi on expulserait certains sans papiers et au nom de quoi la France accueillerait la famille d'un dictateur", a-t-elle dit.
La socialiste française Ségolène Royal a jugé samedi "important" que son parti "puisse se constituer en force d'observation" dans l'organisation de futures élections libres en Tunisie, proposant sa propre présence comme "garantie"."Il ne faut pas voler au peuple tunisien cette victoire, et en tous cas, si je puis être utile, le moment venu, bien sûr que je serai au côté du peuple...
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