La secrétaire d'Etat américaine, Hillary Clinton, a appelé dimanche les Etats arabes du Golfe à faire "tout" ce qui permettra de faire appliquer les sanctions contre l'Iran, décidées en raison de son programme nucléaire controversé.
"Nous ne voulons que personne ne soit induit en erreur par les services de renseignements de qui que ce soit", a déclaré Mme Clinton à des journalistes, à bord d'un avion l'emmenant à Abou Dhabi où elle est arrivée dimanche soir.
"Nous attendons que tous nos partenaires (du Golfe) qui partagent cette inquiétude (concernant l'Iran) restent aussi concentrés que possible et fassent tout ce qui pourra aider à faire appliquer ces sanctions", a-t-elle dit, au début d'une tournée dans la région.
Mme Clinton était interrogée sur un éventuel relâchement de la pression sur l'Iran par les pays du Golfe, après les déclarations d'un ministre israélien évoquant un retard dans le programme nucléaire iranien.
Fin décembre, le ministre israélien des Affaires stratégiques Moshé Yaalon avait affirmé que de récentes "difficultés" avaient retardé de plusieurs années l'éventuelle accession de Téhéran à la bombe atomique.
Si le programme nucléaire iranien "aboutit, cela se produira probablement dans les trois prochaines années. Et j'espère que cela n'aboutira pas du tout et que les efforts de l'Occident empêcheront l'Iran de développer une capacité nucléaire", avait dit M. Yaalon.
Les Etats-Unis et une partie de la communauté internationale accusent l'Iran de chercher à se doter de l'arme atomique sous couvert d'un programme nucléaire civil, ce que Téhéran a toujours démenti.
Israël est soupçonné d'être à l'origine du virus informatique Stuxnet, qui a touché les centrifugeuses iraniennes produisant de l'uranium enrichi, et a été accusé par Téhéran, avec les Etats-Unis, d'avoir perpétré les attentats qui ont tué en novembre un responsable du programme nucléaire iranien et en ont blessé un autre.
Mme Clinton entame un voyage de cinq jours dans les pays du Golfe, en quête d'un soutien plus ferme envers le nouveau gouvernement irakien et de progrès concernant les sanctions contre l'Iran.
Au cours de cette tournée aux Emirats arabes unis, au sultanat d'Oman et au Qatar, Mme Clinton devrait aussi appeler à une meilleure coopération entre gouvernements de la région, représentants de la société civile et monde de l'entreprise, en vue de réaliser des progrès démocratiques, économiques et sociaux, ont indiqué des responsables américains.
Il s'agit de la seconde visite de Mme Clinton dans la région du Golfe en un mois, après un voyage à Bahreïn début décembre.
"Nous ne voulons que personne ne soit induit en erreur par les services de renseignements de qui que ce soit", a déclaré Mme Clinton à des journalistes, à bord d'un avion l'emmenant à Abou Dhabi où elle est arrivée dimanche soir.
"Nous attendons que tous nos partenaires (du Golfe) qui partagent cette inquiétude (concernant l'Iran) restent aussi concentrés que possible et fassent tout ce qui pourra aider à faire appliquer ces sanctions", a-t-elle dit, au début d'une tournée dans la région.
Mme Clinton était interrogée sur un éventuel relâchement de la pression sur l'Iran par les pays du Golfe, après les déclarations d'un ministre israélien évoquant un retard dans le programme nucléaire iranien.
Fin décembre, le ministre israélien des Affaires stratégiques Moshé Yaalon avait affirmé que de récentes "difficultés" avaient retardé de plusieurs années l'éventuelle accession de Téhéran à la bombe atomique.
Si le programme nucléaire iranien "aboutit, cela se produira probablement dans les trois prochaines années. Et j'espère que cela n'aboutira pas du tout et que les efforts de l'Occident empêcheront l'Iran de développer une capacité nucléaire", avait dit M. Yaalon.
Les Etats-Unis et une partie de la communauté internationale accusent l'Iran de chercher à se doter de l'arme atomique sous couvert d'un programme nucléaire civil, ce que Téhéran a toujours démenti.
Israël est soupçonné d'être à l'origine du virus informatique Stuxnet, qui a touché les centrifugeuses iraniennes produisant de l'uranium enrichi, et a été accusé par Téhéran, avec les Etats-Unis, d'avoir perpétré les attentats qui ont tué en novembre un responsable du programme nucléaire iranien et en ont blessé un autre.
Mme Clinton entame un voyage de cinq jours dans les pays du Golfe, en quête d'un soutien plus ferme envers le nouveau gouvernement irakien et de progrès concernant les sanctions contre l'Iran.
Au cours de cette tournée aux Emirats arabes unis, au sultanat d'Oman et au Qatar, Mme Clinton devrait aussi appeler à une meilleure coopération entre gouvernements de la région, représentants de la société civile et monde de l'entreprise, en vue de réaliser des progrès démocratiques, économiques et sociaux, ont indiqué des responsables américains.
Il s'agit de la seconde visite de Mme Clinton dans la région du Golfe en un mois, après un voyage à Bahreïn début décembre.
La secrétaire d'Etat américaine, Hillary Clinton, a appelé dimanche les Etats arabes du Golfe à faire "tout" ce qui permettra de faire appliquer les sanctions contre l'Iran, décidées en raison de son programme nucléaire controversé."Nous ne voulons que personne ne soit induit en erreur par les services de renseignements de qui que ce soit", a déclaré Mme Clinton à des journalistes, à...
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