Un haut responsable iranien a estimé lundi à Damas que les négociations prévues fin janvier à Istanbul entre son pays et le groupe 5+1 pourraient "résoudre les problèmes" au sujet du programme nucléaire controversé iranien.
"Nous pensons que les (prochaines négociations) (...) pourraient ouvrir la voie à une résolution des problèmes", a déclaré Ali Bagheri, adjoint de Saïd Jalili, le négociateur iranien sur le dossier nucléaire.
"La poursuite des négociations à Istanbul profiterait à toutes les parties concernées", a ajouté M. Bagheri lors d'une conférence de presse à Damas après un entretien avec le président Bachar al-Assad.
Après 14 mois d'interruption, l'Iran et le groupe 5+1 (Etats-Unis, France, Grande-Bretagne, Russie, Chine et Allemagne) ont repris début décembre le dialogue à propos du programme nucléaire iranien, et ont décidé de se retrouver fin janvier à Istanbul pour poursuivre les discussions.
M. Bagheri a par ailleurs critiqué "la stratégie qui utilise à la fois le dialogue et les sanctions contre l'Iran, mais qui ne mènera nulle part".
Malgré "les sanctions (...), l'Iran applique actuellement le plus vaste plan de développement économique de son Histoire, ce qui montre le niveau de stabilité politique, économique et social" du pays, a-t-il lancé.
Le Conseil de sécurité de l'ONU a adopté en juin de nouvelles sanctions économiques pour pousser l'Iran à renoncer à son programme nucléaire, en particulier l'enrichissement d'uranium.
De nombreux pays occidentaux soupçonnent l'Iran de vouloir acquérir la bombe atomique sous couvert de programme nucléaire civil, ce que Téhéran dément.
Le président Assad a jugé de son côté "important" une poursuite des négociations, qui mèneraient à un "compromis diplomatique qui garantirait le droit de l'Iran à posséder l'énergie nucléaire pacifique", selon l'agence officielle Sana.
M. Bagheri effectue depuis samedi une visite à Damas où il a également rencontré des responsables de mouvements palestiniens et libanais.
"Nous pensons que les (prochaines négociations) (...) pourraient ouvrir la voie à une résolution des problèmes", a déclaré Ali Bagheri, adjoint de Saïd Jalili, le négociateur iranien sur le dossier nucléaire.
"La poursuite des négociations à Istanbul profiterait à toutes les parties concernées", a ajouté M. Bagheri lors d'une conférence de presse à Damas après un entretien avec le président Bachar al-Assad.
Après 14 mois d'interruption, l'Iran et le groupe 5+1 (Etats-Unis, France, Grande-Bretagne, Russie, Chine et Allemagne) ont repris début décembre le dialogue à propos du programme nucléaire iranien, et ont décidé de se retrouver fin janvier à Istanbul pour poursuivre les discussions.
M. Bagheri a par ailleurs critiqué "la stratégie qui utilise à la fois le dialogue et les sanctions contre l'Iran, mais qui ne mènera nulle part".
Malgré "les sanctions (...), l'Iran applique actuellement le plus vaste plan de développement économique de son Histoire, ce qui montre le niveau de stabilité politique, économique et social" du pays, a-t-il lancé.
Le Conseil de sécurité de l'ONU a adopté en juin de nouvelles sanctions économiques pour pousser l'Iran à renoncer à son programme nucléaire, en particulier l'enrichissement d'uranium.
De nombreux pays occidentaux soupçonnent l'Iran de vouloir acquérir la bombe atomique sous couvert de programme nucléaire civil, ce que Téhéran dément.
Le président Assad a jugé de son côté "important" une poursuite des négociations, qui mèneraient à un "compromis diplomatique qui garantirait le droit de l'Iran à posséder l'énergie nucléaire pacifique", selon l'agence officielle Sana.
M. Bagheri effectue depuis samedi une visite à Damas où il a également rencontré des responsables de mouvements palestiniens et libanais.
Un haut responsable iranien a estimé lundi à Damas que les négociations prévues fin janvier à Istanbul entre son pays et le groupe 5+1 pourraient "résoudre les problèmes" au sujet du programme nucléaire controversé iranien."Nous pensons que les (prochaines négociations) (...) pourraient ouvrir la voie à une résolution des problèmes", a déclaré Ali Bagheri, adjoint de Saïd Jalili,...
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