Le président américain Barack Obama a estimé jeudi qu'il "devrait pouvoir" convaincre le Sénat de ratifier avant la fin de 2010 le traité START de désarmement nucléaire avec la Russie, affirmant que cette ratification était un "impératif de sécurité nationale".
"Que les Etats-Unis ratifient le nouveau traité START cette année est un impératif de sécurité nationale", a déclaré M. Obama.
"Il ne s'agit pas de politique, mais de sécurité nationale", a-t-il insisté, mettant sous pression les républicains du Sénat, qui sont réticents à examiner le texte avant la fin de l'année.
Le président a affirmé que l'absence de ratification mettrait en cause la sécurité nationale américaine, mais aussi les relations avec la Russie. Washington ne peut se permettre de "jouer" avec le contrôle des arsenaux nucléaires russes, a-t-il plaidé.
"Je pense que nous devrions pouvoir parvenir à obtenir les voix", a-t-il répondu à une question sur la possibilité que le Sénat ratifie le traité avant 2011.
L'administration Obama pousse à une ratification rapide du traité car c'est à partir du 3 janvier 2011 que siégera le nouveau Sénat issu des élections législatives du 2 novembre où les républicains seront 47, contre 41 aujourd'hui.
Dix nouveaux élus, tous membres de l'opposition républicaine, ont demandé jeudi que START ne soit pas examiné par la chambre haute avant janvier, "par respect pour les électeurs de (leurs) Etats".
Au Pentagone, le secrétaire à la Défense Robert Gates, qui était déjà en poste pendant la présidence du républicain de George Bush, souhaite lui aussi une ratification rapide du traité, a fait savoir son porte-parole Geoff Morrell au cours d'une conférence de presse.
"C'est d'une importance vitale pour notre sécurité nationale. Nous ne pouvons pas nous permettre d'attendre le prochain Congrès", a-t-il déclaré.
"Que les Etats-Unis ratifient le nouveau traité START cette année est un impératif de sécurité nationale", a déclaré M. Obama.
"Il ne s'agit pas de politique, mais de sécurité nationale", a-t-il insisté, mettant sous pression les républicains du Sénat, qui sont réticents à examiner le texte avant la fin de l'année.
Le président a affirmé que l'absence de ratification mettrait en cause la sécurité nationale américaine, mais aussi les relations avec la Russie. Washington ne peut se permettre de "jouer" avec le contrôle des arsenaux nucléaires russes, a-t-il plaidé.
"Je pense que nous devrions pouvoir parvenir à obtenir les voix", a-t-il répondu à une question sur la possibilité que le Sénat ratifie le traité avant 2011.
L'administration Obama pousse à une ratification rapide du traité car c'est à partir du 3 janvier 2011 que siégera le nouveau Sénat issu des élections législatives du 2 novembre où les républicains seront 47, contre 41 aujourd'hui.
Dix nouveaux élus, tous membres de l'opposition républicaine, ont demandé jeudi que START ne soit pas examiné par la chambre haute avant janvier, "par respect pour les électeurs de (leurs) Etats".
Au Pentagone, le secrétaire à la Défense Robert Gates, qui était déjà en poste pendant la présidence du républicain de George Bush, souhaite lui aussi une ratification rapide du traité, a fait savoir son porte-parole Geoff Morrell au cours d'une conférence de presse.
"C'est d'une importance vitale pour notre sécurité nationale. Nous ne pouvons pas nous permettre d'attendre le prochain Congrès", a-t-il déclaré.
Le président américain Barack Obama a estimé jeudi qu'il "devrait pouvoir" convaincre le Sénat de ratifier avant la fin de 2010 le traité START de désarmement nucléaire avec la Russie, affirmant que cette ratification était un "impératif de sécurité nationale"."Que les Etats-Unis ratifient le nouveau traité...