Le président iranien Mahmoud Ahmadinejad a indiqué jeudi que la procédure concernant Sakineh Mohammadi-Ashtiani, une femme condamnée à mort par lapidation en Iran, était toujours en cours, et critiqué les appels de la communauté internationale à renoncer à cette exécution.
"Cette procédure est toujours en cours. Les services d'enquête iraniens sont très compétents et prendront la bonne décision concernant cette affaire", a déclaré M. Ahmadinejad à des journalistes à Bakou, en marge d'un sommet régional dans la capitale de l'Azerbaïdjan.
Interrogé sur les appels de la communauté internationale à renoncer à cette exécution, M. Ahmadinejad a répondu: "je veux lancer mon propre appel.
Aux Etats-Unis, 53 femmes sont condamnées à mort. Pourquoi le monde entier ne demande-t-il pas de gracier ces femmes? Nous leur avons transmis une liste avec les noms de ces femmes mais les médias sont entre leurs mains et c'est pourquoi ceux-ci n'abordent pas cette question", a-t-il ajouté.
Mme Mohammadi-Ashtiani, mère de famille de 43 ans, a été condamnée à mort en 2006 par deux tribunaux différents dans deux procès séparés.
Une première cour l'a condamnée à mort par pendaison pour avoir participé au meurtre de son mari avec l'un de ses amants mais cette peine a été commuée par une cour d'appel en 2007 à 10 ans de prison.
Toutefois, la condamnation à mort par lapidation de Mme Mohammadi-Ashtiani pour plusieurs adultères, notamment avec l'homme accusé du meurtre de son mari, ordonnée par la seconde cour, a été confirmée en 2007 par la Cour suprême.
Début novembre, le ministre iranien des Affaires étrangères, Manouchehr Mottaki, a indiqué que la décision finale sur le cas de cette femme n'avait pas été prise.
Cette affaire a ému l'opinion internationale. Les Etats-Unis et l'Europe ont appelé l'Iran à renoncer à cette exécution.
"Cette procédure est toujours en cours. Les services d'enquête iraniens sont très compétents et prendront la bonne décision concernant cette affaire", a déclaré M. Ahmadinejad à des journalistes à Bakou, en marge d'un sommet régional dans la capitale de l'Azerbaïdjan.
Interrogé sur les appels de la communauté internationale à renoncer à cette exécution, M. Ahmadinejad a répondu: "je veux lancer mon propre appel.
Aux Etats-Unis, 53 femmes sont condamnées à mort. Pourquoi le monde entier ne demande-t-il pas de gracier ces femmes? Nous leur avons transmis une liste avec les noms de ces femmes mais les médias sont entre leurs mains et c'est pourquoi ceux-ci n'abordent pas cette question", a-t-il ajouté.
Mme Mohammadi-Ashtiani, mère de famille de 43 ans, a été condamnée à mort en 2006 par deux tribunaux différents dans deux procès séparés.
Une première cour l'a condamnée à mort par pendaison pour avoir participé au meurtre de son mari avec l'un de ses amants mais cette peine a été commuée par une cour d'appel en 2007 à 10 ans de prison.
Toutefois, la condamnation à mort par lapidation de Mme Mohammadi-Ashtiani pour plusieurs adultères, notamment avec l'homme accusé du meurtre de son mari, ordonnée par la seconde cour, a été confirmée en 2007 par la Cour suprême.
Début novembre, le ministre iranien des Affaires étrangères, Manouchehr Mottaki, a indiqué que la décision finale sur le cas de cette femme n'avait pas été prise.
Cette affaire a ému l'opinion internationale. Les Etats-Unis et l'Europe ont appelé l'Iran à renoncer à cette exécution.
Le président iranien Mahmoud Ahmadinejad a indiqué jeudi que la procédure concernant Sakineh Mohammadi-Ashtiani, une femme condamnée à mort par lapidation en Iran, était toujours en cours, et critiqué les appels de la communauté internationale à renoncer à cette exécution."Cette procédure est toujours en...
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