Le ministre français de l'Intérieur, Brice Hortefeux, a appelé les policiers à "limiter l'usage de la force" après des incidents avec des lycéens, qui ont continué vendredi à manifester à travers la France pour dénoncer la réforme des retraites.
Jeudi, un adolescent de 16 ans avait été grièvement blessé à un oeil par un tir de flash-ball (balles en caoutchouc) au cours d'affontements en région parisienne, au cours duquel onze policiers ont été aussi blessés.
Un étudiant a été aussi hospitalisé dans l'ouest du pays après avoir eu "la boîte crânienne enfoncée", selon son père, lors des manifestations de mardi. Une enquête de l'IGPN, la police des polices, a été ouverte.
Dans un télégramme, le ministre de l'Intérieur a demandé aux préfets, "compte tenu de la spécificité de ce type de manifestations", "d'être particulièrement vigilants sur les conditions d'intervention et de limiter l'usage de la force au strict nécessaire". Le ministre a dans le même temps salué le "sang-froid" et la "maîtrise" des forces de l'ordre.
Le mouvement lycéen s'est poursuivi vendredi avec plusieurs centaines de lycées perturbés (306, selon les autorités, 900 selon un syndicat lycéen), tandis que plusieurs milliers de jeunes ont manifesté partout en France.
Ce mouvement a de nouveau été marqué par des violences, qui ont fait des blessés parmi les jeunes et les forces de l'ordre. Des dégradations ont eu lieu en banlieue parisienne, à Lyon (centre-est) avec des abribus et des arrêts de tramways dégradés et à Toulouse (sud-ouest) avec des voitures caillassées.
Quelque "151 casseurs, mêlés aux différents groupes" de lycéens ont été interpellés, selon le ministère de l'Intérieur qui n'a pas pu fournir de comparaison avec les jours précédents.
Plusieurs responsables politiques de l'opposition ont dénoncé les violences policières commises à l'encontre des jeunes, tandis que la majorité du président Nicolas Sarkozy a dénoncé "l'irresponsabilité" de certains membres de l'opposition qui, selon elle, tentent de manipuler la jeunesse en les incitant à descendre dans la rue.
Les jeunes ont commencé à rejoindre massivement mardi le mouvement contre la réforme des retraites lancé par les syndicats de travailleurs.
Jeudi, un adolescent de 16 ans avait été grièvement blessé à un oeil par un tir de flash-ball (balles en caoutchouc) au cours d'affontements en région parisienne, au cours duquel onze policiers ont été aussi blessés.
Un étudiant a été aussi hospitalisé dans l'ouest du pays après avoir eu "la boîte crânienne enfoncée", selon son père, lors des manifestations de mardi. Une enquête de l'IGPN, la police des polices, a été ouverte.
Dans un télégramme, le ministre de l'Intérieur a demandé aux préfets, "compte tenu de la spécificité de ce type de manifestations", "d'être particulièrement vigilants sur les conditions d'intervention et de limiter l'usage de la force au strict nécessaire". Le ministre a dans le même temps salué le "sang-froid" et la "maîtrise" des forces de l'ordre.
Le mouvement lycéen s'est poursuivi vendredi avec plusieurs centaines de lycées perturbés (306, selon les autorités, 900 selon un syndicat lycéen), tandis que plusieurs milliers de jeunes ont manifesté partout en France.
Ce mouvement a de nouveau été marqué par des violences, qui ont fait des blessés parmi les jeunes et les forces de l'ordre. Des dégradations ont eu lieu en banlieue parisienne, à Lyon (centre-est) avec des abribus et des arrêts de tramways dégradés et à Toulouse (sud-ouest) avec des voitures caillassées.
Quelque "151 casseurs, mêlés aux différents groupes" de lycéens ont été interpellés, selon le ministère de l'Intérieur qui n'a pas pu fournir de comparaison avec les jours précédents.
Plusieurs responsables politiques de l'opposition ont dénoncé les violences policières commises à l'encontre des jeunes, tandis que la majorité du président Nicolas Sarkozy a dénoncé "l'irresponsabilité" de certains membres de l'opposition qui, selon elle, tentent de manipuler la jeunesse en les incitant à descendre dans la rue.
Les jeunes ont commencé à rejoindre massivement mardi le mouvement contre la réforme des retraites lancé par les syndicats de travailleurs.
Le ministre français de l'Intérieur, Brice Hortefeux, a appelé les policiers à "limiter l'usage de la force" après des incidents avec des lycéens, qui ont continué vendredi à manifester à travers la France pour dénoncer la réforme des retraites.Jeudi, un adolescent de 16 ans avait été grièvement...
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