Le vice-ministre iranien de la Culture, chargé des médias, Mohammad Ali Ramin, a accusé dimanche les médias occidentaux d'être "insolents et menteurs", a indiqué l'agence de presse Ilna.
"Cette année, aucun des médias occidentaux n'a le droit de participer au salon de la presse, car ils sont menteurs, insolents et tricheurs. Ils se croient les maîtres du monde", a déclaré M. Ramin.
Le salon du livre a lieu chaque année à l'automne à Téhéran.
Les journalistes étrangers ont fait face à d'importantes restrictions depuis la réélection du président Mahmoud Ahmadinejad en juin 2009 et les violentes manifestations de protestation contre ce scrutin contesté.
Plusieurs journalistes étrangers ont été interdits de travailler. Le correspondant de la BBC a été expulsé après la présidentielle.
Le journaliste irano-canadien Maziar Bahari, qui travaillait pour Newsweek, a été emprisonné pendant quatre mois, avant d'être autorisé à quitter le pays. Ensuite, il a été condamné par contumace à 13 ans et six mois de prison et 74 coups de fouet.
Les médias iraniens ont également dû faire face à d'importantes restrictions. De nombreux journaux réformateurs ont été fermés et des dizaines de journalistes, proches des milieux de l'opposition réformatrice, ont été arrêtés.
"Cette année, aucun des médias occidentaux n'a le droit de participer au salon de la presse, car ils sont menteurs, insolents et tricheurs. Ils se croient les maîtres du monde", a déclaré M. Ramin.
Le salon du livre a lieu chaque année à l'automne à Téhéran.
Les journalistes étrangers ont fait face à d'importantes restrictions depuis la réélection du président Mahmoud Ahmadinejad en juin 2009 et les violentes manifestations de protestation contre ce scrutin contesté.
Plusieurs journalistes étrangers ont été interdits de travailler. Le correspondant de la BBC a été expulsé après la présidentielle.
Le journaliste irano-canadien Maziar Bahari, qui travaillait pour Newsweek, a été emprisonné pendant quatre mois, avant d'être autorisé à quitter le pays. Ensuite, il a été condamné par contumace à 13 ans et six mois de prison et 74 coups de fouet.
Les médias iraniens ont également dû faire face à d'importantes restrictions. De nombreux journaux réformateurs ont été fermés et des dizaines de journalistes, proches des milieux de l'opposition réformatrice, ont été arrêtés.
Le vice-ministre iranien de la Culture, chargé des médias, Mohammad Ali Ramin, a accusé dimanche les médias occidentaux d'être "insolents et menteurs", a indiqué l'agence de presse Ilna."Cette année, aucun des médias occidentaux n'a le droit de participer au salon de la presse, car ils sont menteurs, insolents et tricheurs. Ils se croient les...
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