Un candidat aux législatives de septembre prochain, touché vendredi lors d'un attentat perpétré dans une mosquée dans l'est de l'Afgfhanistan, a succombé à ses blessures, a indiqué samedi à l'AFP un haut responsable local.
"Le candidat à l'élection parlementaire a succombé à ses blessures hier à l'hôpital. L'attentat à la mosquée a fait un mort et 19 blessés", a déclaré Amir Badshah Rahmtzai, le directeur des services de santé de la province de Khost.
Un attentat a été perpétré vendredi dans une mosquée du village de Bahramkhail, dans l'instable province de Khost, frontalière des zones tribales pakistanaises et réputée très infiltrée par les rebelles talibans et leurs alliés.
L'explosion s'est produite peu de temps avant la prière du vendredi, quand un candidat aux législatives, Saidullah Said, a pris la parole devant les fidèles.
Aucun groupe insurgé n'a revendiqué l'attentat. Les autorités ont elles accusé les "ennemis de l'Afghanistan", un terme faisant référence aux talibans.
La campagne électorale a débuté le 23 juin à travers le pays, et les autorités craignent des violences rebelles contre les candidats.
Ce scrutin législatif, le second depuis l'intervention internationale qui a chassé les talibans du pouvoir à la fin 2001, est dénoncé par les rebelles qui le considèrent comme un instrument de la mainmise occidentale sur le pays.
"Le candidat à l'élection parlementaire a succombé à ses blessures hier à l'hôpital. L'attentat à la mosquée a fait un mort et 19 blessés", a déclaré Amir Badshah Rahmtzai, le directeur des services de santé de la province de Khost.
Un attentat a été perpétré vendredi dans une mosquée du village de Bahramkhail, dans l'instable province de Khost, frontalière des zones tribales pakistanaises et réputée très infiltrée par les rebelles talibans et leurs alliés.
L'explosion s'est produite peu de temps avant la prière du vendredi, quand un candidat aux législatives, Saidullah Said, a pris la parole devant les fidèles.
Aucun groupe insurgé n'a revendiqué l'attentat. Les autorités ont elles accusé les "ennemis de l'Afghanistan", un terme faisant référence aux talibans.
La campagne électorale a débuté le 23 juin à travers le pays, et les autorités craignent des violences rebelles contre les candidats.
Ce scrutin législatif, le second depuis l'intervention internationale qui a chassé les talibans du pouvoir à la fin 2001, est dénoncé par les rebelles qui le considèrent comme un instrument de la mainmise occidentale sur le pays.
Un candidat aux législatives de septembre prochain, touché vendredi lors d'un attentat perpétré dans une mosquée dans l'est de l'Afgfhanistan, a succombé à ses blessures, a indiqué samedi à l'AFP un haut responsable local."Le candidat à l'élection parlementaire a succombé à ses blessures hier à...
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