Après des mois de suspense, le président américain Barack Obama annoncera mardi prochain, dans un discours solennel au pays, la stratégie qu'il a retenue pour « finir le boulot » en Afghanistan, avec à la clé l'envoi probable de dizaines de milliers d'hommes supplémentaires.
Pour convaincre une opinion publique de plus en plus réticente, M. Obama, qui s'est fait fort mardi de « finir le boulot » en Afghanistan, devrait insister la semaine prochaine sur la perspective de la fin de l'engagement de son pays.
M. Obama, qui a réuni à neuf reprises son conseil de guerre en l'espace de trois mois pour définir la stratégie afghane, a insisté lors de ce processus « non seulement sur l'envoi d'un certain nombre de soldats, mais aussi sur ce qu'il faudra mettre en œuvre pour les faire revenir », a déclaré son porte-parole Robert Gibbs. « Nous en sommes à la neuvième année de nos efforts en Afghanistan, nous n'allons pas rester encore huit ou neuf ans », a-t-il ajouté.
Dans la perspective d'un retrait américain, l'entraînement des forces armées afghanes « est un impératif », a souligné M. Gibbs, qui a également évoqué la contribution attendue des alliés de l'OTAN.
De son côté, l'OTAN a reconnu hier qu'il faudrait du temps à plusieurs des alliés européens des États-Unis pour décider de l'envoi ou non de renforts, à la suite de Washington. « Personne ne doit imaginer que dès le lendemain de l'annonce faite par le président Obama, on connaîtra le nombre total de soldats additionnels mis sur la table par les autres alliés », a prévenu le porte-parole de l'OTAN, James Appathurai.
Pour convaincre une opinion publique de plus en plus réticente, M. Obama, qui s'est fait fort mardi de « finir le boulot » en Afghanistan, devrait insister la semaine prochaine sur la perspective de la fin de l'engagement de son pays.
M. Obama, qui a réuni à neuf reprises son conseil de guerre en l'espace de trois mois pour définir la stratégie afghane, a insisté lors de ce processus « non seulement sur l'envoi d'un certain nombre de soldats, mais aussi sur ce qu'il faudra mettre en œuvre pour les faire revenir », a déclaré son porte-parole Robert Gibbs. « Nous en sommes à la neuvième année de nos efforts en Afghanistan, nous n'allons pas rester encore huit ou neuf ans », a-t-il ajouté.
Dans la perspective d'un retrait américain, l'entraînement des forces armées afghanes « est un impératif », a souligné M. Gibbs, qui a également évoqué la contribution attendue des alliés de l'OTAN.
De son côté, l'OTAN a reconnu hier qu'il faudrait du temps à plusieurs des alliés européens des États-Unis pour décider de l'envoi ou non de renforts, à la suite de Washington. « Personne ne doit imaginer que dès le lendemain de l'annonce faite par le président Obama, on connaîtra le nombre total de soldats additionnels mis sur la table par les autres alliés », a prévenu le porte-parole de l'OTAN, James Appathurai.
Après des mois de suspense, le président américain Barack Obama annoncera mardi prochain, dans un discours solennel au pays, la stratégie qu'il a retenue pour « finir le boulot » en Afghanistan, avec à la clé l'envoi probable de dizaines de milliers d'hommes supplémentaires.Pour convaincre une opinion publique de...
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