« Nous voulons sensibiliser les gens au problème de notre ville. À Venise, les maisons coûtent plus de deux fois plus cher que sur la terre ferme, c'est beaucoup trop pour la classe moyenne », a déclaré à l'AFP Pierluigi Tamburrini, porte-parole de l'association citoyenne Venessia.com, qui promeut la culture vénitienne et a organisé l'événement. « Nous demandons plus de mesures de la part de la ville en faveur des habitants, nous refusons la monoculture touristique actuelle, il faut redévelopper d'autres secteurs », a ajouté M. Tamburrini.
L'université américaine Polytechnic Institute du Massachusetts a profité de ce rassemblement unique de Vénitiens pour récolter leur ADN dans le cadre d'un projet de recherche de la National Geographic Society sur les origines des populations de l'Europe centrale et occidentale. Seuls les hommes dont les parents et grands-parents étaient Vénitiens pouvaient se porter volontaires comme sujets.
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