Le Los Angeles Times avait révélé que les enquêteurs s'intéressaient de près à cinq médecins de Michael Jackson et à leurs ordonnances. « Je ne suis pas l'un des cinq docteurs, je n'ai été interrogé par personne et je n'ai pas été contacté par la police de Los Angeles », a assuré M. Klein.
Mercredi soir, CNN affirmait que la famille de Michael Jackson était au courant de la dépendance de la star et que certains de ses membres, notamment sa sœur Janet, auraient essayé de le « sauver » en 2007, sans succès. Par ailleurs, selon des sources proches de l'enquête, citées par ABC et CNN, Michael Jackson avait le corps criblé de piqûres d'aiguilles au moment de sa mort, le 25 juin à Los Angeles. Ces révélations renforcent les spéculations sur le rôle qu'aurait pu jouer l'administration de puissants sédatifs dans le décès.
Une ancienne infirmière, Cherilyn Lee, avait assuré que le chanteur et ses proches l'avaient pressée de lui obtenir du Diprivan, dans les derniers mois de la vie de Michael Jackson. Les analyses toxicologiques de la première autopsie du corps seront connues dans plusieurs semaines. Rien n'a filtré des résultats de la seconde autopsie, commandée par la famille. Le certificat de décès, délivré mardi par le comté de Los Angeles, ne précise pas la cause de la mort.
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