Une série de petits soucis en Sardaigne (4e) puis une énorme sortie de route en Grèce (abandon le samedi), c'est un peu comme si Loeb l'extraterrestre était retombé de son nuage. Le quintuple champion du monde n'a marqué que cinq points en deux rallyes, contre cinquante lors des cinq précédents conclus à chaque fois par une victoire sans appel.
Il faut remonter à la saison 2007, la dernière du grand Marcus Gronholm en WRC, pour retrouver la trace d'une telle baisse de régime de la part de l'ogre alsacien : deux rallyes d'affilée sans gagner (Suède et Norvège). Puis Marcus avait encore fait mieux : trois victoires consécutives, en Sardaigne, en Grèce et Finlande.
La victoire de Mikko Hirvonen en Grèce était la 70e de Ford en Mondial des rallyes, dont huit au crédit du Finlandais totalement relancé par les deux derniers rallyes : « Je suis à nouveau dans la bagarre et les deux prochains, en Pologne et en Finlande, vont se disputer sur des pistes rapides, qui devraient me convenir », a dit le vice-champion du monde.
« Les spéciales ont l'air très rapides et ressemblent beaucoup à la Finlande, mais il n'y a pas autant de bosses que chez nous. Elles sont plus étroites et par endroits elles sont un peu sablonneuses, donc elles risquent de se creuser un peu au deuxième passage. Si en plus il pleut, ça deviendra de la boue », prévoit Hirvonen.
Un député au départ
La seule fois où ce rallye de Pologne a figuré au calendrier mondial, c'était en 1973. Depuis, il était devenu un pilier du championnat d'Europe (ERC) et sa bonne réputation a attiré 55 concurrents, dont un député polonais dans une Ford Focus de chez Stobart, Krzysztof Holowczyc.
Trois fois vainqueur de ce rallye de Pologne, la dernière en 2005, Holowczyc, 47 ans, est depuis 2007 membre de la commission du Transport et du Tourisme au Parlement européen. Il a aussi obtenu, en 1998 en Argentine, le meilleur résultat d'un Polonais en WRC : 7e sur une Subaru. Il sera donc très suivi par le public local sur les pistes de la Mazurie.
Le spectacle commence ce soir par une superspéciale de 2,5 km à Mikolajki, le quartier général du rallye, puis il y en aura 17 autres, soit 350 km chronométrés au total. Les deux jours de reconnaissance ont permis à Loeb et Elena de peaufiner leurs notes. La qualité des notes, c'est généralement un atout maître du tandem franco-monégasque sur les nouveaux rallyes. Intéressant.
Il faut remonter à la saison 2007, la dernière du grand Marcus Gronholm en WRC, pour retrouver la trace d'une telle baisse de régime de la part de l'ogre alsacien : deux rallyes d'affilée sans gagner (Suède et Norvège). Puis Marcus avait encore fait mieux : trois victoires consécutives, en Sardaigne, en Grèce et Finlande.
La victoire de Mikko Hirvonen en Grèce était la 70e de Ford en Mondial des rallyes, dont huit au crédit du Finlandais totalement relancé par les deux derniers rallyes : « Je suis à nouveau dans la bagarre et les deux prochains, en Pologne et en Finlande, vont se disputer sur des pistes rapides, qui devraient me convenir », a dit le vice-champion du monde.
« Les spéciales ont l'air très rapides et ressemblent beaucoup à la Finlande, mais il n'y a pas autant de bosses que chez nous. Elles sont plus étroites et par endroits elles sont un peu sablonneuses, donc elles risquent de se creuser un peu au deuxième passage. Si en plus il pleut, ça deviendra de la boue », prévoit Hirvonen.
Un député au départ
La seule fois où ce rallye de Pologne a figuré au calendrier mondial, c'était en 1973. Depuis, il était devenu un pilier du championnat d'Europe (ERC) et sa bonne réputation a attiré 55 concurrents, dont un député polonais dans une Ford Focus de chez Stobart, Krzysztof Holowczyc.
Trois fois vainqueur de ce rallye de Pologne, la dernière en 2005, Holowczyc, 47 ans, est depuis 2007 membre de la commission du Transport et du Tourisme au Parlement européen. Il a aussi obtenu, en 1998 en Argentine, le meilleur résultat d'un Polonais en WRC : 7e sur une Subaru. Il sera donc très suivi par le public local sur les pistes de la Mazurie.
Le spectacle commence ce soir par une superspéciale de 2,5 km à Mikolajki, le quartier général du rallye, puis il y en aura 17 autres, soit 350 km chronométrés au total. Les deux jours de reconnaissance ont permis à Loeb et Elena de peaufiner leurs notes. La qualité des notes, c'est généralement un atout maître du tandem franco-monégasque sur les nouveaux rallyes. Intéressant.
Une série de petits soucis en Sardaigne (4e) puis une énorme sortie de route en Grèce (abandon le samedi), c'est un peu comme si Loeb l'extraterrestre était retombé de son nuage. Le quintuple champion du monde n'a marqué que cinq points en deux rallyes, contre cinquante lors des cinq précédents conclus à chaque fois par une...
commentaires (0)
Commenter